Filtrer
Support
Éditeurs
- Actes Sud Jeunesse (10)
- Buchet/Chastel (9)
- Pocket (9)
- Feryane (8)
- Folio (3)
- Robert Laffont (3)
- Actes Sud (2)
- Delphine Montalant (2)
- Gallimard Jeunesse (2)
- L'ICONOCLASTE (2)
- Bernet Danilo (1)
- Chemins d'encre (1)
- Collection Proche (1)
- Editions Du Chemin (1)
- Finitude (1)
- Four Eyes (1)
- Studio De La Croix Des Landes (1)
- Éditions Thierry Magnier (1)
- Éditions de l'Iconoclaste (1)
Langues
Prix
Jean Philippe Blondel
-
C'est le dernier été des années 1970. Peut-être même le dernier de la famille Royer. Les parents sont sur le point de divorcer. Les deux frères se détestent cordialement. Pourtant, durant ce séjour en village de vacances, rien ne se déroule comme prévu. Il y a le soleil, la piscine, les marches en montagne. De nouvelles amitiés qui se tissent. Et puis ces soirées au sous-sol du bâtiment transformé en discothèque, où tout le monde se déhanche sur le tube disco de l'été, Boogie Wonderland. Le désir, les trahisons et les rêves d'émancipation : tout va se nouer autrement, et chacun en sortira plus libre. Dans ce nouveau roman, Jean-Philippe Blondel plonge au coeur de l'intimité d'une famille au bord du précipice, que le rythme obsédant des basses va sauver du naufrage.
-
Le grand appartement familial est vacant ? Une aubaine pour Romain, 16 ans, qui aimerait bien prendre son envol. Il convainc ses parents de le laisser s'y installer... en coloc. Rémi, un geek très doué en maths, et Maxime, auquel aucune fille du lycée ne semble devoir résister, emménagent et vont semer un joyeux désordre dans une vie trop bien réglée. Il y a les fêtes, les frictions du quotidien et, surtout, leur amitié improbable.
-
Il est 9 heures au Tom's. Il y a ce parfum dans l'air, qui donne des ailes. La journée peut commencer. Neuf personnes vont se croiser, installées en terrasse ou blotties à l'intérieur. Il y aura des rencontres et des ruptures, des regards appuyés et d'autres qui s'esquivent, des annonces et des secrets dévoilés.
Et comme toujours au Tom's, il sera question d'amour. Croquant ce petit théâtre du quotidien, Jean-Philippe Blondel signe une merveille de roman, plein d'humanité, qu'on referme le coeur léger et le sourire aux lèvres.
" Le roman du bonheur. " Gérard Collard - France 5 " Plein d'humour et de tendresse. " France Info " Savoureux ! " La Libre Belgique -
1989. Tandis que le monde entier assiste à la chute du mur de Berlin, d'autres événements viennent bouleverser la vie des habitants de l'école Denis-Diderot. Philippe, revenu d'Amérique du Sud, a trouvé sa vocation:comme ses parents, il sera enseignant. Proche de la retraite, sa mère envoie valser les conventions, avec la complicité de son amie Janick. Partout, les lignes bougent, les repères changent. Seule Geneviève semble inébranlable... Mais n'est-elle pas celle qui, au fond, cache le plus lourd secret - un secret qui risque à nouveau de rebattre les cartes?
-
Deux fois j'ai regardé la mort en face. Je n'en reviens pas d'être encore là. Ce que j'ai appris se résume en un mot : la joie.
C'est une vie ponctuée de " pourquoi ? ".
Pourquoi Jean-Philippe Blondel a-t-il décidé ce jour-là de prendre le train et non la voiture familiale, échappant ainsi à l'accident qui a emporté sa mère et son frère ? Pourquoi un deuxième accident coûta la vie à son père, le laissant, à vingt et un ans, formidablement libre et terriblement seul ? Pourquoi, quatre décennies plus tard, le destin le rattrape-t-il, l'obligeant à regarder de nouveau la mort en face ? D'une histoire qui aurait pu être racontée avec des sanglots, Jean-Philippe Blondel tire un récit empreint de tendresse et d'autodérision, le livre joyeux et lumineux d'un homme qui a traversé le feu et qui relève la tête, une ode à tous ceux qui prennent soin des autres, qu'ils soient enseignants ou soignants. -
Quand un lycéen découvre que son père a lu son blog à son insu, il décide de ne plus lui adresser la parole pour lui signifier son mépris devant ce qu'il estime être pire qu'une trahison, un véritable «viol virtuel». Pour s'amender, son père choisit de partager avec lui ses secrets d'adolescents. Il dépose devant la porte de la chambre de son fils un carton contenant ses souvenirs et surtout son journal intime qui nous plongent au début des années 80...
-
Samuel a 18 ans et son bac. Il n'est jamais trop sorti de sa ville, de sa région. Il a prévu de partir sillonner l'Europe au mois d'août avec son meilleur ami mais, à la dernière minute, celui-ci lui fait faux bond. Samuel est en colère, ce voyage, il en rêvait, et c'est pour cette raison qu'il a enduré en juillet un boulot pénible dans un restaurant pour économiser. Il décide de partir seul, son pass Interrail en poche, direction Amsterdam. Puis il gagne Hambourg, Copenhague... À chaque étape, il fait des rencontres, dort en auberge de jeunesse, se fait héberger, parfois galère. Tombe amoureux. Lui vient alors l'idée d'interviewer et de filmer des jeunes de son âge, pour qu'ils se racontent. Jusqu'à cet Ukrainien, Luka, qui, venu travailler au Danemark, veut repartir défendre son pays.
-
« Parfois les adultes ignorent le poids qu'ils peuvent avoir sur la destinée des enfants qui ne sont pas les leurs. » Au milieu des années 1970, quatre familles d'instituteurs cohabitent dans l'école Denis-Diderot. Alors que le pays subit les effets du premier choc pétrolier, que les femmes revendiquent leurs droits et que la mixité s'impose dans les cours de récréation, rien ne semble devoir troubler le quotidien des Coudrier, des Goubert, des Lorrain et des Ferrant. Leur vie s'écoule entre coups de foudre et trahisons, éclats de rire et émotions. À moins qu'un vent de modernité ne s'engouffre tout à coup dans les classes et les corps et ne redessine les contours d'un monde très différent...
-
Louis Claret est un professeur vieillissant qui habite en province. Séparé de sa femme depuis quelques années, ses filles vivant désormais des vies très différentes de ce qu'il avait imaginé, il se laisse bercer par le quotidien. C'est sans réfléchir et pour remplir une soirée bien vide qu'il se rend au vernissage d'une exposition de peintures d'Alexandre Laudin - un ancien élève, jadis très effacé mais devenu une célébrité dans le monde artistique. Il ne se figure pas un seul instant à quel point ces retrouvailles avec Laudin vont bouleverser sa vie.
La Mise à nu parle de ce qu'on laisse derrière soi, au bout du compte.
Des enfants. Des amis. Des livres ou des tableaux... Jean-Philippe Blondel, dans une veine très personnelle, évoque avec finesse ce moment délicat où l'on commence à dresser le bilan de son existence tout en s'évertuant à poursuivre son chemin, avec un sourire bravache.
-
Chaque année, on reloue au bord de la mer. Une maison, un appartement. Les voisins ? On les entend, on les regarde. Les enfants s'amusent sur la plage, les parents s'aiment ou se déchirent, les adolescents rêvent d'ailleurs. On se croise par hasard un soir d'été et les destins s'entremêlent.
Peu à peu, les fils qui relient cette humanité en vacances révèlent la géographie souterraine de ce roman sensible, à la fois puzzle et kaléidoscope. Sous la plume tendre et nostalgique de Jean-Philippe Blondel, la vie suit son cours entre petits bonheurs et grands drames. -
Un triangle amoureux. Une fille et deux garçons. Amour, amitié, séparation. Mais ce qui les relie irréductiblement l'un à l'autre est la danse, le hip-hop. La seule passion du mouvement, de la circulation dans et entre les corps, d'un art vécu comme une sérénité. Anais, Adrien et Sanjeewa : l'ancienne gymnaste à la carrière contrariée, le garçon en colère contre l'injustice familiale et le fils d'immigrés Tamoul que l'on ne sait pas trop où caser. Le trio réinvente les lois de l'attraction dans la vie comme sur un plateau. Nourri de culture musicale, Jean-philippe Blondel n'a pas son pareil pour mettre en scène l'adolescence avec énergie, sensualité et confiance.
-
Aurélien est nouveau dans son lycée. Il a déménagé. Ce n'est pas la première fois qu'il déménage. Pas facile de se faire des amis dans ces conditions. Mais justement, des amis, Aurélien semble ne pas en vouloir. Il est du genre solitaire ; parfois il voudrait juste pouvoir se fondre dans le décor pour qu'on lui fiche la paix. Pourtant, un garçon de sa classe, Thibaud, semble s'intéresser particulièrement à lui ; il parvient même à convaincre Aurélien de participer à une soirée slam. Dans la pulsation des mots, dans la chaleur de cette amitié naissante, Aurélien arrive enfin à faire craquer la glace qui l'enserre et commence à se libérer du poids du secret, celui du deuil.
-
Quentin, nouveau dans son lycée, est enrôlé par une enseignante charismatique pour jouer Tom dans la pièce de Tennessee Williams, La ménagerie de verre. Entre la vie et les répétitions du spectacle, l'acteur et son personnage, les frontières tendent à s'abolir.
-
Pourquoi rester assise à étudier dans une classe alors que dehors le monde court à sa perte ? À quoi bon parler d'écologie et de développement durable si l'on ne fait rien ? Cette prise de conscience du péril climatique plonge Lou dans une grande anxiété, un désespoir qui lui ôte le goût de vivre. Heureusement un déclic va se produire : la lycéenne découvre l'activisme de la militante suédoise Greta Thunberg. On peut agir ! Avec deux camarades, Lou se lance un défi : alerter les esprits autour d'elle, mobiliser les jeunes comme les plus vieux, et organiser dans sa ville une grande manifestation pour le climat. Un récit engagé, mordant, rempli d'optimisme et de foi dans la jeunesse. Le portrait touchant d'une pasionaria du quotidien.
-
Au rebond "quand je suis sorti du gymnase, il faisait beau.
Le soleil tapait fort. mon coeur aussi. des rouages s'étaient enclenchés dans mon cerveau et j'avais commencé à gamberger. qu'est-ce qu'on est censé faire quand un camarade s'évapore ? qu'est-ce qu'on est censé faire quand un copain coupe tout contact, du jour au lendemain ? " forcer le destin. " c'est ma mère qui a prononcé ces mots-là, le soir même, après m'avoir cuisiné sur mon silence. ".
-
Avoir... Comme avoir 22 ans.
Être... Comme être sans attaches.
Prendre... Comme prendre une décision.
Tailler... Comme tailler la route.
Rester... Comme rester vivant.
-
La fièvre s'est emparée du lycée à l'annonce de la visite d'un célèbre critique rock. Des groupes de l'établissement pourront lui faire écouter un ou deux morceaux. Mais celui de Benjamin n'existe plus, il a explosé... comme son amitié avec Mathieu. Et si c'était l'occasion de "rejouer" le passé ?
-
Le train de 06h41, départ Troyes, arrivée Paris. Bondé, comme chaque lundi. Cécile, quarante-sept ans, rentre d'un week-end épuisant chez ses parents. Elle a hâte de retrouver son mari, sa fille, son quotidien. La place à côté d'elle est libre. Philippe s'y assied, après une légère hésitation. Cécile et lui ont été amants vingt-sept ans auparavant, pendant quelques mois. Cela s'est très mal terminé. À leur insu, cette histoire a profondément modifié leurs chemins respectifs. Tandis que le train roule vers Paris et que le silence s'installe, les souvenirs remontent. Ils ont une heure et demie pour décider de la suite.
-
Toujours les mêmes conversations, les mêmes buffets, les mêmes belles-mères... Vidéaste de mariage, Corentin connaît par coeur le spectacle du bonheur. Tous les samedis d'été, il enfile sa cravate, attrape son matériel et part assister à l'union des autres - qu'il sait regarder, enregistrer comme personne. Personne, il l'est - à leurs yeux du moins. À force de vivre en marge, sans s'engager, Corentin fait du surplace sans le savoir. Il est grand temps qu'il passe de l'autre côté de la caméra. Du côté de la vie, enfin...
-
François Roussel, professeur d'anglais et écrivain, se laisse convaincre de monter un atelier d'écriture pour les Terminales de son lycée. Il se demande tout de même qui cela pourrait bien intéresser. Et puis les premiers inscrits arrivent : Léo, Émeline, Nina... et même Boris, le rigolo de la Terminale ES. Ils seront douze au total, dix élèves et deux profs, réunis une heure par semaine dans un monde clos pour écrire. Pour tous, c'est un grand saut dans l'inconnu. Les barrières tombent, ils seront tous au même niveau, à découvert. Un groupe à part. Avec des révélations, des révoltes, des secrets qu'on dévoile. Des chemins qui se dessinent...
-
Le train de 06h41, départ Troyes, arrivée Paris. Bondé, comme tous les lundis matins. Cécile Duffaut, 47 ans, revient d´un week-end épuisant chez ses parents. Elle a hâte de retrouver son mari, sa fille et sa situation de chef-d´entreprise. La place à côté d´elle est libre. S´y installe, après une légère hésitation, Philippe Leduc. Cécile et lui ont été amants vingt-sept ans auparavant, pendant quelques mois. Cela s´est très mal passé. À leur insu, cette histoire avortée et désagréable a profondément modifié leurs chemins respectifs. Tandis que le train roule vers Paris et que le silence s´installe, les images remontent. Ils ont une heure et demie pour décider de ce qui les attend.
-
1979. Quatre chiffres peints en rouge sur un mur décrépi. Et tant de combinaisons envisageables. Est-ce une date clé ? Un code confidentiel ? Une mauvaise blague ? Une menace camouflée ? Une invitation au voyage ? Ou encore un signe du destin ? Rien de tout cela. Et un peu tout à la fois. Aux yeux, entre autres, de Virginie, Arnaud, Julien, Hervé, Paul, Elizabeth ou Annie. Respectivement maman rêveuse, jeune garçon perturbé, taggueur rageur, médecin au bout du rouleau, assassin repenti, chagrin d'amour ambulant et propriétaire très en colère. Et tous plus ou moins bouleversés par cette étrange date surgie de nulle part puis qui disparaît un beau jour, emportant avec elle un bien drôle de secret...
-
Un endroit pour vivre
Jean-Philippe Blondel
- Actes Sud Jeunesse
- D'une Seule Voix
- 28 Septembre 2007
- 9782742770038
"C'est à cause du nouveau proviseur - M. Langlois (...). De ses discours autoritaires. De sa façon d'insister sur tous les mots négatifs qu'il emploie : ne pas, interdit, plus jamais, personne. De la manière dont ils le regardaient tous - comme des moutons -, les yeux mouillés, un regard glissé par en dessous, obéissants, jugulés. Ça m'a bouffé." On a beau être un élève réservé, sans histoires, il y a des sermons, des injustices, qui ne passent pas. Caméscope au poing, l'adolescent décide de filmer ses camarades et de raconter son lycée pour ce qu'il est aussi : un lieu de vie, d'amitié, de haine comme d'amour.
-
j'ai encore rêvé d'elle, la bombe humaine, week-
end à rome...
comme ces couples qui parlent de " leur chanson ", yoann pourrait dire de tous ces tubes qu'ils sont les siens. ce ne sont pas forcément ses préférés, mais à quarante ans ces airs émergent de sa vie accidentée comme autant de notes échouées. l'enfance, les tourments de l'adolescence, les premières amours, et puis le deuil, imprévu, violent, tragique. une existence à reconstruire avant même d'avoir commencé.
pendant des années, yoann va chercher l'apaisement qui lui permettra enfin de réécouter le disque de sa vie.