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Jean Philippe Blondel
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Le grand appartement familial est vacant ? Une aubaine pour Romain, 16 ans, qui aimerait bien prendre son envol. Il convainc ses parents de le laisser s'y installer... en coloc. Rémi, un geek très doué en maths, et Maxime, auquel aucune fille du lycée ne semble devoir résister, emménagent et vont semer un joyeux désordre dans une vie trop bien réglée. Il y a les fêtes, les frictions du quotidien et, surtout, leur amitié improbable.
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Il est 9 heures au Tom's. Il y a ce parfum dans l'air, qui donne des ailes. La journée peut commencer. Neuf personnes vont se croiser, installées en terrasse ou blotties à l'intérieur. Il y aura des rencontres et des ruptures, des regards appuyés et d'autres qui s'esquivent, des annonces et des secrets dévoilés.
Et comme toujours au Tom's, il sera question d'amour. Croquant ce petit théâtre du quotidien, Jean-Philippe Blondel signe une merveille de roman, plein d'humanité, qu'on referme le coeur léger et le sourire aux lèvres.
" Le roman du bonheur. " Gérard Collard - France 5 " Plein d'humour et de tendresse. " France Info " Savoureux ! " La Libre Belgique -
1989. Tandis que le monde entier assiste à la chute du mur de Berlin, d'autres événements viennent bouleverser la vie des habitants de l'école Denis-Diderot. Philippe, revenu d'Amérique du Sud, a trouvé sa vocation:comme ses parents, il sera enseignant. Proche de la retraite, sa mère envoie valser les conventions, avec la complicité de son amie Janick. Partout, les lignes bougent, les repères changent. Seule Geneviève semble inébranlable... Mais n'est-elle pas celle qui, au fond, cache le plus lourd secret - un secret qui risque à nouveau de rebattre les cartes?
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Quand un lycéen découvre que son père a lu son blog à son insu, il décide de ne plus lui adresser la parole pour lui signifier son mépris devant ce qu'il estime être pire qu'une trahison, un véritable «viol virtuel». Pour s'amender, son père choisit de partager avec lui ses secrets d'adolescents. Il dépose devant la porte de la chambre de son fils un carton contenant ses souvenirs et surtout son journal intime qui nous plongent au début des années 80...
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« Parfois les adultes ignorent le poids qu'ils peuvent avoir sur la destinée des enfants qui ne sont pas les leurs. » Au milieu des années 1970, quatre familles d'instituteurs cohabitent dans l'école Denis-Diderot. Alors que le pays subit les effets du premier choc pétrolier, que les femmes revendiquent leurs droits et que la mixité s'impose dans les cours de récréation, rien ne semble devoir troubler le quotidien des Coudrier, des Goubert, des Lorrain et des Ferrant. Leur vie s'écoule entre coups de foudre et trahisons, éclats de rire et émotions. À moins qu'un vent de modernité ne s'engouffre tout à coup dans les classes et les corps et ne redessine les contours d'un monde très différent...
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Louis Claret est un professeur vieillissant qui habite en province. Séparé de sa femme depuis quelques années, ses filles vivant désormais des vies très différentes de ce qu'il avait imaginé, il se laisse bercer par le quotidien. C'est sans réfléchir et pour remplir une soirée bien vide qu'il se rend au vernissage d'une exposition de peintures d'Alexandre Laudin - un ancien élève, jadis très effacé mais devenu une célébrité dans le monde artistique. Il ne se figure pas un seul instant à quel point ces retrouvailles avec Laudin vont bouleverser sa vie.
La Mise à nu parle de ce qu'on laisse derrière soi, au bout du compte.
Des enfants. Des amis. Des livres ou des tableaux... Jean-Philippe Blondel, dans une veine très personnelle, évoque avec finesse ce moment délicat où l'on commence à dresser le bilan de son existence tout en s'évertuant à poursuivre son chemin, avec un sourire bravache.
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D'année en année, on reloue le même endroit, au bord de la mer. Les voisins ? On les entend, les regarde, les désire, les déteste. Leurs noms ? Leurs visages ? Qui s'en souvient ? Et pourtant.
L'enfant rêvant du Club Mickey, la séductrice en minijupe, l'Allemande de l'Est un peu paumée, le vieil homme qui n'avait jamais vu la mer. Tous ont en commun la même histoire de destin chahuté, tortueux, livré au hasard d'un soir d'été.
Dans le chassé-croisé des vacanciers, la vie fait son office, au gré des grandes marées.
Cet ouvrage a reçu le prix France-Canada
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Avoir... Comme avoir 22 ans.
Être... Comme être sans attaches.
Prendre... Comme prendre une décision.
Tailler... Comme tailler la route.
Rester... Comme rester vivant.
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Le train de 06h41, départ Troyes, arrivée Paris. Bondé, comme chaque lundi. Cécile, quarante-sept ans, rentre d'un week-end épuisant chez ses parents. Elle a hâte de retrouver son mari, sa fille, son quotidien. La place à côté d'elle est libre. Philippe s'y assied, après une légère hésitation. Cécile et lui ont été amants vingt-sept ans auparavant, pendant quelques mois. Cela s'est très mal terminé. À leur insu, cette histoire a profondément modifié leurs chemins respectifs. Tandis que le train roule vers Paris et que le silence s'installe, les souvenirs remontent. Ils ont une heure et demie pour décider de la suite.
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Toujours les mêmes conversations, les mêmes buffets, les mêmes belles-mères... Vidéaste de mariage, Corentin connaît par coeur le spectacle du bonheur. Tous les samedis d'été, il enfile sa cravate, attrape son matériel et part assister à l'union des autres - qu'il sait regarder, enregistrer comme personne. Personne, il l'est - à leurs yeux du moins. À force de vivre en marge, sans s'engager, Corentin fait du surplace sans le savoir. Il est grand temps qu'il passe de l'autre côté de la caméra. Du côté de la vie, enfin...
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Pas vraiment un métier et loin d'une vocation : étudiant désargenté, Alex s'est résolu à garder les enfants des autres. Une petite annonce à la boulangerie lance le bouche-à-oreille... Très vite, c'est tout un monde qui s'ouvre à lui, des intérieurs révélateurs, des existences où il pénètre en clandestin. Puis en familier. Ce grand garçon un peu mou, intelligent et introverti, devient l'oreille des confidences. Dans cette chorale de vies bancales, qui le réchauffe et qui l'étouffe, la voix d'Alex tarde à prendre son envol...
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Deuxième étage, troisième porte à gauche.
Depuis vingt ans, la G229 est son royaume. La table en U. Le rétroprojecteur. Toute une génération d'élèves s'est assise là. Et Monsieur B d'enseigner, de s'énerver, de s'attendrir. Passeur de mots, passeur de vie. Entre ceux qui rament et ceux qui s'envolent. Les parents d'élèves, les inspections tatillonnes, le temps qui passe... Parce qu'il y a un homme derrière le prof, et tout un roman derrière le bureau...
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j'ai encore rêvé d'elle, la bombe humaine, week-
end à rome...
comme ces couples qui parlent de " leur chanson ", yoann pourrait dire de tous ces tubes qu'ils sont les siens. ce ne sont pas forcément ses préférés, mais à quarante ans ces airs émergent de sa vie accidentée comme autant de notes échouées. l'enfance, les tourments de l'adolescence, les premières amours, et puis le deuil, imprévu, violent, tragique. une existence à reconstruire avant même d'avoir commencé.
pendant des années, yoann va chercher l'apaisement qui lui permettra enfin de réécouter le disque de sa vie.
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1979. Quatre chiffres peints en rouge sur un mur décrépi. Et tant de combinaisons envisageables. Est-ce une date clé ? Un code confidentiel ? Une mauvaise blague ? Une menace camouflée ? Une invitation au voyage ? Ou encore un signe du destin ? Rien de tout cela. Et un peu tout à la fois. Aux yeux, entre autres, de Virginie, Arnaud, Julien, Hervé, Paul, Elizabeth ou Annie. Respectivement maman rêveuse, jeune garçon perturbé, taggueur rageur, médecin au bout du rouleau, assassin repenti, chagrin d'amour ambulant et propriétaire très en colère. Et tous plus ou moins bouleversés par cette étrange date surgie de nulle part puis qui disparaît un beau jour, emportant avec elle un bien drôle de secret...
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Hugo n'a qu'une passion: les livres.
Et qu'une envie : fuir au plus vite le cocon familial. Bac en poche, le voici donc à Paris, jeune étudiant en lettres, se rêvant libre et ambitieux comme un personnage de roman. Mais il doit rapidement déchanter: son existence est loin d'être aussi trépidante qu'il l'imaginait. Pire, il doit s'accommoder d'une cohabitation pesante avec son logeur, un homme taciturne et distant. Heureusement, sa boulimie de lecture l'aide à surmonter ces débuts difficiles.
Et grâce aux fils mystérieux que tissent les livres entre les êtres, elle va même lui apporter un peu plus: l'amitié, l'amour, et la redécouverte d'un écrivain oublié...