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JOHANNES HONIGMANN
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La fille du bourreau et le roi des mendiants
Oliver Pötzsch, Johannes Honigmann
- Actes Sud
- Babel Noir
- 8 Juin 2022
- 9782330165765
Apprenant que sa soeur est mourante, Jakob Kuisl prend le bateau pour Ratisbonne. Mais il arrive trop tard et la découvre auprès de son mari, tous deux étendus dans leur sang. Le testament le désignant comme unique héritier, tout porte à croire qu'il est le meurtrier. Pendant ce temps, sa fille Magdalena et le médecin Simon sont accusés d'avoir provoqué la mort en couches d'une femme, et sont obligés de fuir, eux aussi, hors des frontières de Bavière, vers Ratisbonne. Ils décident alors de mener l'enquête...
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La fille du bourreau
Oliver Pötzsch, Johannes Honigmann
- Actes Sud
- Babel Noir
- 6 Septembre 2017
- 9782330081836
En 1659, dans la petite ville bavaroise de Schongau, plusieurs enfants disparaissent et un jeune garçon est repêché dans la Lech, mourant, avec un signe de sorcellerie tatoué sur l'épaule. L'hystérie s'empare alors de la ville. Accusée, la sage-femme est livrée au bourreau, lequel est persuadé de son innocence. Magdalena, la fille du bourreau, et son ami, un jeune médecin, partent à la recherche de l'assassin.
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Une mesure de trop
Alain claude Sulzer, Johannes Honigmann
- Actes Sud
- Babel
- 2 Septembre 2020
- 9782330139612
Au milieu d'une brillante interprétation, le pianiste de renommée internationale Marek Olsberg interrompt brutalement son jeu avec un simple : "C'est tout" et abandonne la salle. Ce micro-événement sera le grain de sable qui va bouleverser plusieurs vies. Un grandiose roman polyphonique sur les tours que nous joue le destin.
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La fille du bourreau et le moine noir
Oliver Pötzsch, Johannes Honigmann
- Actes Sud
- Babel Noir
- 4 Septembre 2019
- 9782330125141
Schongau, 1660 : le curé d'Altenstadt a été empoisonné. Il utilise ses dernières forces pour dessiner un symbole qui mène à la très ancienne tombe d'un templier. Le bourreau Jakob Kuisl, sa fille Magdalena et le médecin Simon vont-ils découvrir le mythique trésor de cet Ordre ? Après le succès de La Fille du bourreau (prix Historia du roman policier 2015), la série continue en poche.
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Ernest travaille dans le restaurant d'un palace à Giessbach, en Suisse. C'est un garçon parfait, aussi strict dans le travail que dans la vie. Mais cette dignité imperturbable cache la blessure jamais guérie de la violente passion qu'il a connue pour Jacob, un garçon parfait comme lui, Jacob qui l'a abandonné pour suivre en Amérique Julius Klinger, le grand écrivain allemand. C'était après 1933, dans ces années troublées où beaucoup de clients, fuyant l'Allemagne nazie, venaient trouver refuge, avant les rigueurs de l'exil, dans ce luxueux hôtel qui avait si souvent abrité leurs insouciantes villégiatures. Mais rien n'était plus pareil et Sulzer rend palpable la peur obscure qui hante désormais ces salons trop rassurants et tisse avec subtilité les fils des drames intimes et ceux de la tragédie historique. Il faudra la fin de la guerre et le retour d'exil de Klinger pour que s'affrontent deux mémoires dans l'ultime combat d'une rivalité amoureuse. C'est ce qui prête au roman une tension dramatique qui va crescendo et tient jusqu'au bout le lecteur en haleine.
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On rapporte que lorsque Chu Ta, devenu le maître Bada Shanren, mourut, « le pinceau lui échappa des mains et tomba sur sa chemise blanche. Il glissa lentement sur sa poitrine en laissant une trace noire. » Cette histoire est une histoire vraie. Chu Ta, né en 1626, fut le dernier prince de la dynastie des Ming en Chine. Après l'invasion mandchoue, il se réfugia dans un temple et devint moine, peintre et calligraphe.
Richard Weihe raconte la vie longue et mouvementée de Chu Ta en un roman court et dense qui vise l'essentiel. Et son style vif et ramassé semble reproduire la brièveté et la nécessité du geste de son personnage, exemple vivant de la philosophie et de l'art du zen.
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Un adolescent suisse décide de venir à Paris afin de découvrir ce qu'on lui a toujours caché : la raison pour laquelle son père s'est suicidé à sa naissance. Par l'auteur de Un garçon parfait, (Babel numéro 1116, prix Medicis étranger 2008).