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Paulo Ramand
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Malgré l'opposition de ses parents, Stanislas, riche homme d'affaires suisse, épouse la belle et élégante Elina. Cette dernière issue d'un milieu modeste, est éblouie par sa nouvelle vie faite de voyages, de réceptions et d'invitations.
Mais que sait-elle du passé de son mari ?
Pourtant ce passé va ressurgir. Elina qui a déjà vécu d'autres drames va-t-elle avoir assez d'énergie et de courage pour surmonter cette nouvelle épreuve.
Cette intrigue est totalement imaginaire, bien que les villes et villages cités soient bien réels, et que la famille de Jeanne ait vraiment existée sous une identité différente. Tous les autres personnages de ce roman sont fi ctifs.
Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existées ne saurait être que fortuite. -
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MONSIEUR CHICHOIS : & AUTRES NOUVELLES FRANCO-POLONAISES
Michel Kotlinski
- Paulo Ramand
- 30 Mai 2024
- 9782754311625
Un soir, en rentrant du travail, j'expliquai à mon frère que je ne pourrai pas encore tenir longtemps dans cet emploi déprimant.
Je décidai donc de chercher un autre travail et consultai les petites annonces. Depuis mes années de lycée, j'avais pris l'habitude de lire le journal « le monde ».
Fort curieusement, car ce n'était habituellement pas dans ce quotidien que l'on trouvait de telles annonces, je tombai sur ce petit encart laconique : « Restaurant renommé cherche serveur, nourri, pour la place se présenter au 65, Rue de Douai, Paris 9ème ». -
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Crouzal est une petite ville qui s'est développée grâce à une importante société qui s'y est installée depuis quelques dizaines d'années. L'homme qui en a été l'un des piliers vient de se faire assassiner sans que l'on en saisisse la raison. Crime d'autant plus incompréhensible que le personnage était apprécié et respecté par son entourage. Sa disparition ne semble profiter à personne. Puis c'est la fille du PDG que des malfrats veulent kidnapper. Projet mal conçu qui provoque un drame. Visiblement les deux affaires sont liées.
Le commissaire Brassard n'est pas le seul à s'efforcer de résoudre l'énigme qui perturbe sa petite ville tranquille. Deux journalistes obtiennent des renseignements de la part d'un mystérieux informateur. Pour la police ce n'est pas une sinécure que de suivre les pistes qui paraissent indiquer un possible bénéficiaire. Est-ce la bonne route ? Rien n'est moins certain. Bien malin qui pourrait deviner celui qui, dans l'ombre tire les ficelles. -
Nouveaux périples, et pas des moindres dans ce tome IV, dernier des quatre ouvrages de la série A l'aventure, racontés par le personnage principal lui-même, Olivier Racine. Ses objectifs au départ de Nai Harn Beach : l'Egypte via la Yougoslavie la Turquie et la Grèce, un kibboutz en Israël, un safari au Kenya, le Taj Mahal en Inde... avant de regagner l'extrême sud-est de l'Asie pour boucler sa trajectoire : Pékin-Moscou par le Transsibérien Express puis l'Europe de l'Est, la France et enfin sa chère Suisse natale qui semble à la fin tant lui manquer.
Mais résistera-t-il aux multiples aléas qui obstrueront son chemin où lassitude, découragement, peurs, doutes, nostalgie s'installeront parfois malgré sa témérité et son naturel optimiste ? Le dénuement qui s'accentue et la malchance qui le guette auront-ils raison de lui ? Simone, splendide Suédoise rencontrée en Thaïlande, fée et source inespérée d'un coup de foudre réciproque et fulgurant le détournera-t-elle de ses projets ou au contraire permettra-t-elle d'enrichir ce singulier voyage ? Se poursuivra-t-il en solitaire ou à deux ? Pour découvrir l'issue de ce volet rocambolesque qui s'achève sur ce tome IV, garanti plein de surprises et de rebondissements, rendez-vous à l'aéroport JFK de New York pour de nouveaux épisodes colorés narrés avec la même spontanéité, gouaille et sincérité, entre autres, dont Olivier Racine a fait preuve dans les Tome I, II et III de A l'aventure, laissant le lecteur la plupart du temps médusé, il faut bien le dire, autant que charmé par la musique fidèle de ce formidable air de liberté.
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Ces nuits où mes rives s'embrasèrent
Emilie fore Faignond
- Paulo Ramand
- 31 Décembre 2021
- 9782754309790
Ce témoignage, je le veux sincère et comme mon âme de Femme des deux rives congolaises a vécu ces événements qui, pendant des mois transformèrent les deux capitales jumelles du Fleuve Congo en brasier ardent et meurtier...
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Simon s'ennuie à mourir dans cette vie pavillonnaire que lui offrent ses parents. Dans cette vie désolante et réglée où tout bouge sans que rien fondamentalement ne change, Simon parvient à trouver un espace de créativité en déglinguant tous les appareils ménagers.
C'en est trop ! Le psychologue appelé en renfort alimente Justin en réglisses et obtient de ce fait quelques résultats. Un espace de liberté est attribué à Simon dans le garage où se trouve la chaudière qu'il visitera. La coupe est pleine ! On expédie Simon chez un oncle qui vit de peu et de rien dans un petit village perdu en montagne.
Cet oncle qu'il faut amadouer éloigne définitivement Simon des appareils ménagers que du reste on ne trouve pas dans ces contrées reculées.
Roquemaure ouvre un monde dans lequel Simon entrera... -
Et si, le seul échappatoire d'un vice diabolique était : la mort. C'est le dilemme auxquels vont faire face, trois vies, trois destins différents.
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Construction ou l'ébauche d'un projet en perpétuel chantier : soi ! En l'occurrence, il ne s'agit pas de vous mais de moi. Après m'avoir lu, vous verrez que nous nous ressemblons, surtout au chapitre des doutes, des tendresses ou des ratages. Construction tient aussi de la réponse à William Giraldi, de contrepoint à son Corps du héros dont la lecture m'a renvoyé une fois de plus vers l'autofiction. Je suis aussi allé chercher du côté du père, nous n'étions pas forcément proches, surtout moi. Il y a également la famille, la famille élargie, les familles que l'on se choisit, par hasard, par défi, par convenance. Le ton est critique, c'est une marque de fabrique car, si vous vous apprêtez à repeindre la devanture, il faut la décaper au préalable.
De plus, j'ai tenté, hors les théories de genre et les nouveaux catéchismes, de dessiner un modèle de masculinité, gay, dans la cinquantaine, un prototype bourgeois renouvelé, rien d'inatteignable ou d'hors-de-prix. Je ne sais pas si j'y suis arrivé ou même si ça pourrait vous être utile ? Au pire, vous pourrez toujours considérer « Construction » comme une tentative d'essai sociologique fin XXème - début XXIème. -
Ce roman policier, une pure fiction, vous fera visiter Le Mans et plus particulièrement sa vieille ville. Il prend sa source dans une légende historique ou pas, à chacun sa vérité. En tout état de cause, sa lecture vous permettra de passer un moment agréable, bercé par l'humour de la charmante et parfois fantasque Marion, tout juste nommée commandant de police et affectée en Sarthe.
Cette jeune célibataire, endurcie par un caractère indépendant et un métier difficile, contre toute attente, va tomber amoureuse, un coup de foudre qui ne peut déboucher que sur une relation très compliquée et qui va interférer dans son enquête sur le meurtre commis au pied de la cathédrale du Mans.
Parviendra-t-elle à résoudre cette affaire tout en trouvant la sérénité d'un amour accompli et plus simplement à vivre heureuse comme chacune et chacun d'entre vous peut l'espérer ?
Laissez-vous porter par ce roman plein de suspens dans une ville où il fait bon vivre, évadez-vous quelques heures du quotidien et rêvez très fort, car les rêves les plus beaux peuvent se réaliser dans la vraie vie, il suffi t d'y croire et de le vouloir très fort, comme Marion. -
Chantal AZEMA nous plonge dans des souvenirs d'enfance et de vacances dans la maison de famille autour des années 1950, une campagne idéalisée, dans une atmosphère de joie de vivre et d'insouciance, cette période a donné à l'auteure l'envie irrésistible d'y vivre plus tard.
Puis, elle raconte la réalisation tardive de ce rêve à l'âge de la retraite, et le contact avec la réalité brutale de la nature.
À un âge avancé, ce n'était pas rien de souffrir du froid, de l'inconfort, de l'isolement, d'essayer de maîtriser une végétation envahissante, des animaux invasifs, dans une vieille ferme datant de 1800, entourée d'un grand terrain de près d'un hectare. -
Lors des élections municipales de 1959, Rodolphe Dubois, alors âgé de 25 ans, est élu adjoint au maire de Deux-Evailles en Mayenne. En 1961 il est condamné par le tribunal correctionnel de Laval pour diffamation publique avec le témoignage à charge du maire en fonctions et de 5 conseillers pour avoir reproché à l'ancien maire au cours d'une réunion du conseil municipal et par circulaire adressée à tous les habitants de la commune d'avoir commis des irrégularités au cours de sa gestion, dont avait profi té la secrétaire de mairie. Le 1er mars 2016, soit 55 ans plus tard, coup de théâtre ! la condamnation est annulée. Il s'agit d'un long combat, riche en enseignements, que l'auteur a voulu réécrire dans ce livre en y ajoutant en préambule l'histoire des maires de France.
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L'histoire d'une association de demandeurs d'emploi
Rodolphe Dubois
- Paulo Ramand
- 23 Novembre 2023
- 9782754311007
En 1994, alors qu'il était à la retraite depuis trois ans, Rodolphe Dubois a créé, avec quelques demandeurs d'emploi de Redon et des communes environnantes, l'association des Privés d'emploi et précaires du pays de Redon et de Vilaine « Ensemble Face au Chômage » dont l'objet social était de permettre aux demandeurs d'emploi d'éviter l'isolement en se regroupant, avec des sympatisants, dans un mouvement associatif indépendant ayant un cadre juridique.
En même temps que d'aider les personnes concernées dans la recherche d'emploi et dans les différentes démarches liées à leur situation. Et aussi de leur permettre d'être un partenaire des diverses instances locales en matière d'emploi.
À l'actif de l'association, notamment : La création, en 1999, en partenariat avec une centaine de commerçants d'une « carte spécifi que de réductions » ; qui fut une initiative d'ampleur nationtale relayée par une trentaine de médias (presse, magazines, radios, télévisions) ;
L'instauration, en 2000 à Redon, du premier « Espace public numérique pour l'emploi ». -
Avoir fait sourire Aimé Césaire était mon cadeau du jour. À cet âge-là, je n'avais pas encore compris que rien ne se faisait par hasard. Je me disais que j'avais fait ma Aimé Césaire en restant calme, dans cette classe au couvent de Saint-Joseph de Cluny en Martinique, où mon seul désir était de rajouter de l'huile sur le feu.
Faire ma Aimé Césaire était une manière pour moi de réaliser qu'il y avait là aussi un temps pour tout...
J'aurai tout simplement été expulsée parce que la suite on l'a connaît : quand un citoyen lambda vivant à Volga-Plage à un problème avec le béké..., vous savez déjà qui a raison ?! Je ne pouvais donc pas décevoir mon père alors j'ai attendu sans jamais les oublier.
Fanon disait que chaque génération devait dans une relative opacité découvrir sa mission, la remplir, ou la trahir.
Prendre le rôle d'Harriet Tubman à la Réunion m'aura permis de découvrir quelle était la mienne. L'adaptation c'est être prêt à apprendre et à essayer de nouvelles choses. Savoir développer un état d'esprit positif dans toutes situations. -
Parfois, nous empruntions des chemins escarpés et longions le fleuve, le fleuve Congo, le majestueux, l'indomptable. Ses eaux me fascinaient. Si j'étais Africaine, c'était d'abord par ce fleuve puissant. Je savais lui appartenir... toujours. Il était racine, il était fleuve géant. Intarissable, ses pas raisonnaient sur le bouclier de feu de la terre ébène.
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Retrouver son épée. Voilà la seule obsession de Girec. L'unique héritage laissé par son père lui a été dérobé par le juge Chamgar.
Blessé, il devra faire appel à ses sens cachés pour débuter sa quête, pendant laquelle il fera la rencontre de trois jeunes femmes aux tempéraments affirmés.
Parviendront-ils à surmonter les épreuves imposées par le désert ?
Survivront-ils à la cruauté humaine ?
De quel côté se placeront les forces de la nature, implacables et au coeur de cette épopée ?
Quelles seront les retombées de la quête de Girec sur tout le continent de Kevandir ? -
Dans l'écran de leur ordinateur, de part et d'autres de la terre, un homme jeune et une femme professeur de littérature mêlaient leurs yeux. Il aurait pu être son élève. Le diable les a saisis par la cheville et entraînés au fond de la mer...
Tristan et Livie ont marché sur les chemins du non-conformisme, de la détestation du mariage, de l'amour pour l'amour, sans autre but que l'amour, avec au bout des larmes...
Ils ne savaient pas que leur différence d'âge allait déverser sur eux la suie noire de la vie et les ensevelir à jamais...
Livie dans la nuit regarde intensément la lune.
Ses pensées ricochent jusqu'à Tristan...
C'est la même lune... Il la regarde lui aussi. -
Une famille franco-antillaise de banlieue lyonnaise que vous allez connaître au fil des pages. Au travers de détails, une famille que vous allez découvrir non seulement à travers son passé - diaspora -, mais l'alcoolisme, l'éducation des enfants, les parents, pour clore le tout, la mort.
La vie de G.L et de F., qui grandissent et vivent en France, se retrouvent mêlés dans une éducation à la fois française et antillaise.
Une décortication bien croustillante !