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Le parcours du masque étrusque, ses voyages entre l'Europe et l'Amérique servent de toile de fond au roman. Le rythme, irréprochable et envoûtant, guide le lecteur dans le récit d'une famille qui cherche son identité à travers un trésor venu d'ailleurs.
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Recueil de nouvelles dans lequel des personnages se croisent, à la recherche d'une personne avec qui partager espoirs et désillusions. Le plus souvent leurs chemins se croisent en effet, chacun repart sur sa propre voie, la rencontre s'achevant dans la brièveté.
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De partout on accourt au chevet de Gabrielle Varin, qu'on a arrachée aux eaux du lac. Les rumeurs de suicide, de meurtre, les anecdotes contradictoires ajoutent au mystère qui flotte autour de sa personne. Elle doutait de tout, surtout de ceux qui l'aimaient ou voudraient, en ces moments extrêmes, l'aimer assez pour la ramener du côté de la vie. Mais qui est Gabrielle Varin, que tous prétendent connaîtreoe Au nom de quel drame ancien se repliait-elle dans le mutismeoe Et pourquoi louait-elle une chambre, toujours la même, avec vue sur le lac ?
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À travers 18 récits brefs, l'auteur aborde le thème de la pornographie, du regard sur le corps-objet. Loin des images dégradantes, elle s'intéresse plutôt à l'univers dans ce qu'il a de sensuel, voire corporel.
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Qu'elle prenne les traits d'une petite soeur ou ceux d'un amour avorté, la mort est intrinsèquement liée à la condition humaine ; aussi convient-il de l'apprivoiser.
Dans ses nouvelles où la prose conjugue le réalisme et le fabuleux, où maisons, arbres et enfants sont pareillement animés, France Ducasse convie la mort à une joyeuse célébration de la vie.
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Cora a aimé Nicette comme on aime une grande amie, de ce sentiment pur et vrai, certaine d'être aimée en retour. Se serait-elle trompée toutes ces années ? La mort de Nicette et la découverte d'une boîte contenant toute sa correspondance jettent une lumière nouvelle sur le passé, ravivent des blessures qu'on croyait guéries et entraînent Cora dans une enquête bouleversante.
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À la faveur d'un séjour à Grenade, un homme engage un dialogue avec son père, tout juste décédé. Il s'emploie à lui faire découvrir la douceur et le charme de l'Espagne et évoque la déchirure résultant de la cession de Grenade aux Rois Catholiques, après des siècles de domination - de civilisation - arabe.
La terre d'Averroès et des Abencérages, la ville de l'Alhambra et des fontaines, sont restitués dans la magie d'un récit qui superpose le passé au présent. Ainsi peut exister le dialogue du fils et du père, à travers ces autres dialogues qu'entretiennent la réalité et le souvenir, la vie et la mort.
Nouvelliste et traducteur, Louis Jolicoeur s'est imposé comme l'un de nos plus sensibles écrivains du voyage.
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Sylvie Chaput et Marc Chabot étudient le phénomène de l'échange, le genre épistolaire, en même temps qu'ils s'en servent pour fouiller dans l'oeuvre de pensée et d'écritures de quelques écrivains et artistes.
Ce parcours se lit comme une série de lettres qu'on aurait découvertes dans un coffre.
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Dans ce recueil de trente nouvelles brèves, Maurice Henrie explore avec finesse les sentiments de l'enfance, voire les émotions qui marquent les rites de passage. Touchants par leur réalisme, les personnages de Mémoire vive ont été interceptés, pendant un court moment de leur existence, par la plume de l'auteur. Ces fragments témoignent des blessures de l'enfance, des regrets, des cruautés mais également de cet univers où tout est possible...
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Une bactérie dévoreuse de pétrole pour contrer les marées noires, voilà l'objet de l'ambitieux programme de recherche d'un institut montréalais. Mais ce dernier n'est plus seul dans la course aux brevets. Des fuites surviennent, on engage discrètement Alain Cavoure pour y voir plus clair. Le détective a tôt fait de se persuader que la mort d'un des chercheurs n'est pas fortuite. Ses déductions dérangent : il est convié à une balade en forêt par deux types plus portés sur le maniement des armes que sur les plaisirs de la conversation entre adultes bien élevés. Qu'on lui tire dessus n'enlève rien à sa verve. Mais le temps presse pour qui perd son sang
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Un petit village reculé, des paroissiens en mal d'histoires, un médecin amoureux, un pasteur triste : le décor est posé pour un roman savoureux signé Claire Martin. Avec un style à la fois précis et fluide, elle pénètre au sein de cet univers clos et porte un regard tendre sur les questionnements de Thomas, pasteur malgré lui. Thomas envisage déjà sa vie comme une succession de sermons quand il fait la connaissance de Nellie. Indépendante, active, la jeune femme éclaire la grisaille dans laquelle est empêtré le jeune pasteur.
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La jonction de ces deux solitudes constitue la trame de ce roman. Dans un décor qui ressemble à la campagne québécoise, ces deux êtres désorientés s'accrochent l'un à l'autre dans l'espoir, vain, que le temps s'arrête. C'est elle, dont nous ne saurons jamais le nom, qui se remémore leurs échanges quand, dix ans plus tard, elle ressent le besoin de revenir sur ses pas. À travers les conversations banales et les confidences, un homme et une femme s'apprivoisent tout en sachant que leur rencontre ne peut qu'être de courte durée. Deux jours, trois peut-être, voilà tout le temps dont ils disposent pour se connaître, s'apprécier et se quitter.
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Trois longues nouvelles sur trois femmes qui ont en commun, outre un prénom, un féroce besoin d'amour et qui découvrent que la vie est souvent cruelle, mais qu'elle peut aussi être puissamment belle.
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Les nouvelles de ce recueil explorent, non sans une certaine forme de violence, les thèmes de l'amour et de la sexualité. L'auteur esquisse d'un geste sûr les portraits de personnages naviguant dans les eaux troubles du mensonge et du faux-fuyant. Dans un style simple et direct, il construit un univers résolument moderne où le désir frôle le vide.
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Laissant derrière elle une famille, un amoureux et une carrière, Marianne part visiter lItalie où elle fait la rencontre dun homme qui la subjugue. Elle sarrache à grand-peine de sa fascination pour rentrer à Montréal, mais après un hiver difficile Marianne retourne vers lhomme qui lappelle. Parce quil vit chez sa mère, Marco ouvre la vieille maison de son enfance et cest là que, jour après jour, heure après heure, Marianne lattend, épiée par le village qui pourtant se dérobe à létrangère. Prisonnière de la solitude et de lattente, Marianne plonge dans un état de léthargie et de dépression qui la porte au bord de labîme.
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La quiétude d'une jeune femme est rompue par le retour de son mari disparu depuis plusieurs années. Lettres anonymes et appels téléphoniques se succèdent, jusqu'à l'incendie criminel : que cache donc cet homme recueilli par compassion ?
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La découverte de la dernière lettre de son père ravive les souvenirs d'une jeune femme et l'incite à relire la correspondance qu'elle a entretenue avec lui avant sa disparition. Par les mots, seul matériau dont elle dispose, elle tente de recomposer le lien qui l'unissait à un homme jaloux de sa liberté, et de combler un silence de quinze ans.
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Celso a grandi auprès de ses dix tantes, bercé par l'amour de l'aînée, Ana María Concepción de Jesús. Celui que tout désigne comme le héros de ce récit (homme parmi les femmes, jeune au milieu de vieilles dames, esprit sceptique dans un monde de superstitions) semble se retirer, enfermé dans un mutisme incompréhensible. Mais peut-être ne s'agit-il pas là d'un enfermement : Celso ne serait-il pas parvenu au-delà de la parole plutôt que d'en être dépourvu ?
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Prisonnier de la tourmente familiale, Victor vieillit trop vite pour son âge. Seules ses rêveries parviennent parfois à l'isoler de la violence de son beau-père, à lui procurer un peu de bien-être. Réfugié au fond d'un puits abandonné, il tente d'ordonner sa vie. Son esprit oscille entre l'imaginaire positif et la douleur intime des cauchemars. Pour Victor, la mise à l'épreuve des remparts de l'enfance ne fait que commencer...
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Les trous de mémoire, comme le silence, peuvent être tonitruants. De quoi veut-on se protéger en refusant de se souvenir ? La douleur appelle l'amnésie, mais le vide n'est-il pas lui-même source de douleur ? Sous peine de sombrer définitivement, les personnages de ce recueil de nouvelles doivent ramener à la surface ce qui avait été célé, enfoui, sous l'eau, la vase, le silence, la souffrance. La parole est salvatrice. Les mots : comme des perches tendues à des noyés.
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Il y a les images qui valent mille mots, et des mots qui veulent tout dire... Pierre Gagnon le sait bien depuis que le diagnostic est tombé : cancer. Pris dans la tourmente d'un traitement difficile, assailli par le doute, il note ici et là ses observations, s'attarde aux détails qui l'entourent et propose, à l'issu de ce combat, un recueil d'une force peu commune.
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Bach, un inspecteur de police d'expérience, doit enquêter sur une série de meurtres étranges. Un écrivain raté, une vieille femme malade, un idéaliste désillusionné : l'assassin semble libérer ses victimes d'une existence pathétique. Tous les soirs, Bach retrouve un ami d'enfance, Boussy, avec qui il partage ses déboires. Peu à peu, le fantôme de Lætitia, aimée follement il y a longtemps, revient ébranler leur amitié et brouiller le présent. À l'enquête qui progresse se superposent les blessures d'autrefois, vives comme si c'était hier, et les questions, trop nombreuses pour être sans importance...
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Dans ce roman pétillant mettant en scène trois adolescentes inséparables, l'auteure établit un lien entre les figures mythologiques des Trois Grâces, une marquise du 18e siècle et l'une de ses descendantes. Trois strates de récit se superposent et s'entrelacent.
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Tournant le dos à lAbitibi, laîné de la famille Hanse prend la route des États-Unis, en quête davenir et de fortune. On le retrouve dans la poussière grise de la Cité des Vents, au milieu de la foule des-laissés-pour compte, de la faune des clochards prophétiques, doù surgit Mara. Cest avec elle que Georges savancera dans lun des chapitres les plus forts de lhistoire des États-Unis.
La Cité des Vents sancre harmonieusement au cycle entrepris avec « Lécrivain public », ce qui en soi ouvre sur un bonheur de lecture, cependant que Pierre Yergeau réussit à doter Georges dune voix propre. Dans la ville des gangsters, les idées crépitent. Des cabines téléphoniques semble sortir laugure des temps modernes. Le vent souffle du Michigan. Un vent dAmérique.