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Romans & Nouvelles de genre
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Six courts récits policiers, six faits divers nourris de petits malheurs quotidiens, de jalousies mesquines ou de peurs imaginaires qui finissent par devenir réalité. Employés ordinaires, fonctionnaires veules, maître chanteurs, amoureux déçus ou représentants de commerce sont les héros banals - victimes ou criminels - de ces histoires. Matsumoto nous entraîne dans des trains, dans les rues de Tokyo ou de petites villes de province traditionnelles.
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Au XVIe siècle, dans le Japon ravagé par la guerre civile, un enfant pauvre et ambitieux s'enfuit d'un monastère pour se mettre au service du grand Nobunaga. Son manque d'attrait physique lui a valu le surnom de "Singe", mais son intelligence et sa rouerie lui permettent rapidement de s'illustrer dans les batailles et de recevoir des domaines en remerciement. Alors commence pour lui une ascension de tous les échelons du pouvoir : promu samouraï, puis général, il se révèle un stratège de génie autant qu'un diplomate machiavélique, avant de poursuivre ses guerres de conquête à la mort de Nobunaga et de réaliser son rêve de grandeur : devenir le "Grand Pacificateur", le maître incontesté du Japon réunifié.
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Moines et nonnes dans l'océan des péchés
Anonyme/
- Picquier
- Picquier Poche
- 23 Avril 1999
- 9782877304283
Dans la pure tradition des érotiques chinois, ces quarante et un récits mettent en scène des moines et des nonnes lubriques, selon le ressort littéraire universel cher à notre boccace comme aux confucéens.
Compilés sous les ming, issus de chroniques historiques et d'affaires judiciaires, ils mêlent le ton de la bouffonnerie graveleuse à ce-lui de l'idylle émouvante : on y voit des moines débauchant des jeunes filles innocentes et, mus par la paillardise ou la passion amoureuse, prêts à tout pour obtenir les faveurs d'une dame ; d'autres histoires distillent les manigances féminines. ces récits eux-mêmes reposent sur une feinte : sous couvert d'une morale toujours sauve, ils décrivent les ruses du désir et la puissance avec laquelle il cherche à s'assouvir.
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L'humour, la malice et la satire sont au coeur de ces poèmes populaires érotiques composés à la fin du dix-huitième siècle et au début du dix-neuvième siècle au Japon, pour fixer dans l'instant, à la façon d'un Boccace ou d'un La Fontaine, un travers, un mouvement d'humeur ou un jeu de mots.
La source principale d'observation est la vie sexuelle de tous les jours, celle des moines, de la vie conjugale, des courtisanes, des veuves ou des domestiques, sans oublier les espiègles pratiques des dames du palais ou de l'alcôve familiale, hommes et femmes se donnent en spectacle pour le divertissement de nos poètes indiscrets et notre plus grand plaisir.
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Ce classique de l'érotisme est aussi l'un des plus célèbres romans chinois. Écrit au XVIIe siècle par un conteur de génie, esprit libre et persifleur, il raconte les apprentissages érotiques d'un lettré libertin. Pour elles, il subira une opération chirurgicale. En dépit de sa réputation scandaleuse, un roman d'aventures et une oeuvre classique et ambitieuse, pleine d'humour et d'ironie.
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Deux courts romans libres, d'époque Ming, inédits en Occident, anonymes, circulant sous le manteau depuis quatre siècles. L'un, réputé, la chambre à coucher de l'impératrice Wu Zetian, un(e) Néron-Messaline chinois(e). L'autre, peu connu, une éducation sentimentale, fraîcheur acide de l'enfance, passion dévorante et fatale de la femme. Sans doute le premier soliloque au féminin de la littérature chinoise, dans la lignée de ces confessions de filles qui, de Sapho à Fanny Hill, ne se départissent ni d'humour, ni de politesse.
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Que diable Maigret, Ellery Queen et Hercule Poirot sont-ils allés faire à Tôkyô ? En les invitant, M.
Sato à son idée : se faire voler deux millions de dollars, sous leurs yeux. Quel plaisir d'offrir à ses détectives favoris le luxe d'une enquête sur le vif... Bien entendu, un vieux détective japonais est de la partie : Kogoro Akechi, le héros d'Edogawa Ranpo.
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On ne saurait décrire ce recueil mieux que ne le faisait Rainier Lanselle?: «?Le contenu est à la hauteur des promesses du titre. L'auteur braque les projecteurs sur le lit aux mille ébats?: les formules les plus complexes de la sexualité de groupe sont passées en revue, l'échangisme est le bienvenu. Les mises en scène débordent d'imagination et de drôlerie, et la brièveté des histoires permet une rapide succession de situations avec le meilleur effet comique.?» Ce livre maudit - jamais réédité depuis trois siècles et demi - frappe en effet par une modernité inattendue, non seulement par son vivant maniement de la langue, mais aussi par sa défense et illustration de l'assouvissement du désir dans une société qui méconnaît si souvent les besoins légitimes de la femme en ce domaine.
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Un homme mutilé aux prises avec les perversions de sa femme, une chaise humaine prodiguant caresses et sueurs froides à ses victimes, des confessions criminelles dans une « chambre rouge », une intrigue machiavélique autour d'une pièce de deux sen...
On retrouvera dans ces cinq récits la même atmosphère et le même goût pour les mises en scène obsessionnelles que dans La Proie et l'ombre : une logique implacable qui fait du crime une voie esthétique, où s'entremêlent perversions sexuelles, cruauté raffinée, manies et délires mentaux.
Par l'auteur de La Proie et l'ombre, le fondateur de la littérature policière au Japon
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à l'ombre des pechers en fleur
Anonyme, Boorish Awadew
- Picquier
- Picquier Poche
- 4 Juin 2015
- 9782809711042
A l'ombre des pêchers en fleur, écrit dans les années 1650, conte l'histoire d'un jeune étudiant volant de succès en succès, aux examens mandarinaux comme auprès de ses conquêtes féminines. Le plus grand attrait de ce roman frais et enlevé, outre la peinture satirique des embûches - envie, cupidité et malfaisance - guettant tout candidat à la carrière mandarinale, est qu'il se fait le chantre de ces femmes aux âmes passionnées, sensuelles, qui ne trichent pas et aiment à en mourir. Veuves, nonnes, épouses délaissées, servantes futées, jeunes filles recluses... notre galant les séduit toutes, mais il n'en abandonne aucune, s'arrange pour les satisfaire et les emmènera avec lui au paradis des immortels. Ce roman qui bafoue morale et convenances ne connaît qu'une loi, celle de la fiction, où talent et beauté conduisent au bonheur.
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A sa publication, en 1985, ce roman érotique, écrit par une jeune femme de vingt-six ans, choqua profondément les lecteurs japonais et partagea la critique entre enthousiasme et rejet. Il est vrai qu'on y parle crûment, en argot, de sexe entre un Noir américain et une Japonaise, que les scènes d'amour y sont nombreuses. Ce premier roman autobiographique est celui d'une passion amoureuse. Le lecteur reconnaîtra, sans aucun doute, derrière ce livre au parfum de scandale une fraîcheur de ton unique, une imagination vivifiante et sans concessions. Et aussi un talent original, qui inaugura une nouvelle génération d'écrivains au Japon.
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Comédie faussement naturaliste et féerie érotisante, Le Pavillon des Jades pourrait dater du début des Qing (1644-1911).
Son auteur, toujours inconnu, y réussit le tour de force de convoquer toute une palette de situations cocasses et de personnages hauts en couleur : un homme se fait rectifier le sexe pour satisfaire les attentes de son épouse, un cocufieur perd la vie à cause de son goût pour la bagatelle, une renarde aimante échappe à la mort pour revenir se venger de son amant ingrat, un vieux marchand s'épuise à combler sa jeune épouse à la sensualité trop prononcée, sans compter un lot de servantes zélées et un maître ès choses du sexe particulièrement performant.
Plaisamment dérangeant, ce roman, où les lettrés perdent de leur superbe, orchestre un renversement des valeurs qui méritait à lui seul qu'il soit rendu à la vie.
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L'éclipse
Keiichirô Hirano, Jean-Armand Campignon
- Picquier
- Picquier Poche
- 27 Novembre 2004
- 9782877307512
ce premier roman d'un jeune prodige japonais de vingt-trois ans se déroule dans le xve siècle finissant du sud de la france.
un jeune dominicain, en route vers florence à la recherche d'un manuscrit perdu, fait halte dans un village oú se poseront bientôt de façon concrète et bouleversante les questions toutes livresques qu'il agitait sur le bien et le mal, la foi et l'hérésie, l'ordre de la création et les désordres des passions humaines. il s'y attardera malgré lui, fasciné par la figure hautaine et mystérieuse de l'alchimiste pierre dufay, tandis que peu à peu des phénomènes inexplicables s'abattent sur le village, plongeant la communauté dans le chaos avant que tout s'achève en une ordalie de flammes.
cette histoire de feu et de soufre, au questionnement métaphysique sur fond de sorcellerie, est un surprenant paradoxe que hirano keiichirô résout avec une érudition étincelante, dans une langue traversée d'images fortes et étranges, au souffle poétique d'une grande beauté.
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Ce livre fut écrit au XVIe siècle, à la demande du sanguinaire sultan Sélim 1er, qui était devenu impuissant. Ce qui expliquerait son titre original¦ : pour que le vieillard retrouve toute la vigueur de sa jeunesse. Son auteur, Ahmed Ibn Souleimân, savant religieux et haut dignitaire de la Sublime Porte, a compilé toute la science de son temps pour venir en aide à son maître en lâchant la bride à l'imagination la plus folle. Cela donne un livre curieux dont le charme est fait des mélanges des genres (méditations et recettes, contes et récits dont certains reviennent des Mille et Une Nuits , poésies et «¦dits¦»). Ne s'agit-il pas de ressusciter par des mots le désir dans un corps érodé par l'âge et épuisé par l'excès¦?
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Épouse de Minamoto Yoritomo, qui devint le premier shogun du Japon en 1192, Masako dut tout au long de sa vie faire et défaire ses plans, aimer et haïr, allumer des intrigues à la cour, sauvegarder ses droits et sa liberté. En cette époque troublée de Kamakura, des combats sanglants opposent le clan des Taïra et celui des Minamoto pour la conquête du pouvoir. Masako soutient son mari jusqu'à prendre elle-même les armes. Mais elle doit aussi défendre sa place et son rang face aux autres femmes qui viennent sans cesse jouer de leurs charmes dans les plis de leurs kimonos. Voici donc le roman de cette figure célèbre de l'histoire du Japon, une femme brillante, avisée et énergique qui incarna jusqu'au bout les valeurs guerrières et le triomphe de son clan, ouvrant ainsi une longue dynastie de samouraïs qui dura des siècles.
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Wong est confronté à trois affaires qu'il va s'efforcer de dénouer avec l'aide ou parfois malgré l'aide de sa jeune stagiaire, Joyce McQuinnie, une adolescente plus préoccupée par son régime alimentaire et ses soirées en boîte de nuit que par les enseignements de la géomancie traditionnelle chinoise. Au-delà de l'intrigue policière, c'est surtout l'atmosphère et le décor qui retiennent l'attention. On croise dans ce Singapour cosmopolite des personnages hauts en couleurs, originaires de Hong Kong, de Chine, de Malaisie, ou encore d'Amérique, sans compter la petite escapade finale en Australie. L'auteur s'amuse à brosser le caractère de chacun, les accents, les manies. Le duo Wong/Joyce incarne bien les antagonismes spectaculaires de la ville, où l'on peut à la fois vivre complètement à la chinoise sans parler un seul mot d'anglais, ou au contraire à l'occidentale sans comprendre un
mot de chinois. Un mélange détonnant de tradition et de modernité !
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Ce livre appartient à la catégorie des ouvrages que l'on désigne sous le nom de manuels de l'oreiller ou, encore, d'images de printemps. Ces petits volumes veulent introduire le lecteur aux arcanes de l'amour physique en enseignant par le texte et l'image. L'Aube au printemps prend comme référence les Notes de chevet de Sei Shônagon, une dame de cour du xie siècle, en s'appliquant à les détourner. Sei tentait, à travers des énumérations, de faire jaillir la poésie du monde : " Choses qui réjouissent le coeur ", " Choses qui doivent être courtes ", etc. L'auteur anonyme de L'Aube au printemps applique ce modèle de jeu des corps dans l'amour : " Choses dont c'est plaisir qu'elles soient de bonne taille ", " Choses passées dont on se dit : c'était si bon ! ". Son dessein est manifestement de mettre en dérision l'oeuvre qu'il parodie. Mais, à le lire, on découvrira que le schéma imposé par Sei Shônagon fonctionne aussi, et très bien, pour les effrois du coeur quand la passion s'empare des corps.
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Il y avait quelque chose de troublant à vous donner le frisson que de voir un homme, ne disposant que du toucher, admirer la statue nue de la femme qu'il aime.
Ses cinq doigts, menaçants comme les pattes d'une araignée, rampaient à la surface du marbre poli. l'homme s'attarda longtemps sur les lèvres semblables à des pétales de fleur. puis les paumes caressèrent le reste du corps, la poitrine... le ventre... les cuisses...
Un masseur aveugle, fasciné par la perfection du corps féminin, entraîne ses victimes de rencontre dans des mises en scène cruelles et perverses où les plaisirs sensuels et les amours troubles deviennent très vite des jeux douloureux.
Caresses raffinées pour les plaisirs extravagants d'un esthète qui célébrerait l'art dans un monde de beauté purement tactile.
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Il était une fois un galant rompu aux quarante-huit positions, qui habitait près de Takemachi et pour qui toutes les saisons de la vie étaient orientées vers le plaisir. La tentation de composer un recueil de ses notes de chevet finit par l'habiter tout entier. Voici notre libertin qui se prend à rédiger avec un talent insoupçonné les aventures extravagantes de ses nuits et de ses jours passés à caracoler en compagnie de courtisanes. Et pour prolonger le plaisir des ces carnets érotiques, un peintre aux joues en feu et qui avait dû assister à des ébats passionnés, a illustré méthodiquement le livre d'estampes inédites ; elles sont dignes des plus grands maîtres de ce Japon d'Edo, au beau milieu du XIXe siècle. Le charme raffiné de ce texte ne le racheta pas aux yeux de la censure de l'époque. Ryûtei Tanehiko fut condamné pour atteinte à la morale publique.
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Les chevaux célestes ; l'histoire du Chinois qui découvrit l'Occident
Jacques Pimpaneau
- Picquier
- 18 Août 2011
- 9782809702927
Zhang Qian fut le premier explorateur chinois de l'Asie Centrale jusqu'à la Perse, qu'il parcourut et où il vécut et prit femme. Aucun des faits relatés ne sont inventés car tout est fidèle au récit que nous ont transmis les Mémoires historiques, et à cet esprit depuis longtemps disparu, Jacques Pimpaneau redonne vie, l'éclaire des enjeux politiques, l'anime de la flamme de l'intelligence et du souffle de la liberté sur les routes des Xiongnu, de la Bactriane et des chevaux célestes.
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Une nuit, dans un harem maure, ?choue un capitaine anglais?: le beau Lord Herbert est recueilli par les neuf femmes du pacha, toutes plus fascinantes les unes que les autres. Pour les remercier, il leur fait une promesse?: avant l'aube, il honorera chacune d'entre d'elles. Elles acceptent de lui conter l'?pisode le plus voluptueux de leur vie. Ainsi s'encha?nent les histoires de ces femmes venues des quatre coins de la M?diterran?e. Ce roman anglais de la fi n de l'?re victorienne exhale un ?rotisme riche et ra? n?. Lord Herbert p?n?tre dans un paradis o? les femmes sont belles, ?panouies, pr?tes ? se livrer avec gr?ce ? tous les jeux possibles et ? ob?ir ? la loi du d?sir. Aux antipodes de la morale restrictive de l'?poque, ce livre est un petit bijou de fantaisie et d'imagination.
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Plein de bienveillance mais aussi de malice, hanshichi est un détective de l'ancien temps qui sait démêler le vrai du faux, démasquer les secrets des jeunes geishas et les entourloupes des fantômes.
Car dans le japon du xixe siècle, il arrive qu'une mystérieuse coquette en kimono se transforme en énorme chat noir, que les monstres de foire courent les rues où s'escrime un meurtrier à la lance, à moins que l'ombre maudite de la fille du marchand de saké ne vous accompagne, le soir, avec de sanguinaires appétits de vengeance. autant d'énigmes que notre sherlock holmes nippon réussit à élucider dans l'ancienne ville d'edo aux pittoresques coutumes, en nous contant au passage maintes anecdotes sur les traditions, les fêtes, les usages et les plaisirs de cette époque où les fantômes n'étaient jamais bien loin
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Le jardin parfumé ; manuel d'érotologie arabe
Anonyme
- Picquier
- Picquier Poche
- 31 Mai 2012
- 9782809703498
Si ce livre procure toutes les recettes aphrodisiaques du monde, s'il dévoile les corps et les décline en d'innombrables postures, c'est parce que le Cheikh Nefzaoui veut livrer le secret de l'univers¦: le jardin parfumé , c'est le paradis et le paradis, c'est le corps des femmes. Cette première traduction française avait ravi Guy de Maupassant, qui la fi t publier. Nous avons redonné l'intégralité des treize lithographies et les quarante-trois fi gures au trait qui l'accompagnaient ainsi que les dix gravures fort libres de l'édition de Liseux, ensemble qui n'avait jamais été repris jusqu'à présent.