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Cohen Et Cohen
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La disparition d'une fillette au musée Royal d'Art et d'Histoire de Bruxelles... Une enquête où l'enfance se retrouve envoûtée par l'art, où l'art convoque les secrets de famille les plus profonds.
Au bout de la jetée d'Ostende, faisant face à la mer du Nord, au creux de la sculpture contemporaine d'un bulot géant, le corps recroquevillé d'une vieille femme, un masque de Dali posé sur le visage...
Une descente de police chez un retraité, héritier d'un grand nom du marché de l'art pendant la Seconde Guerre Mondiale...
Dans le sarcophage de fer de la vierge de Nuremberg du musée de la torture de Bruges, un nouveau corps. La figure de la victime recouverte du même célèbre masque ...
Une enquête où l'enfance se retrouve envoûtée par l'art, où l'art convoque les secrets de famille les plus profonds. -
Pour cacher d'anciennes cicatrices, un riche héritier se fait greffer une toile ancienne à même la peau. L'héritier disparaît à peine cette première mondiale a-t-elle été présentée publiquement. On retrouvera son corps terriblement mutilé auquel manque le tableau. L'inspectrice Jasmine Biolay mènera cette enquête aux incessants rebondissements, difficiles à surmonter.
Si ce thriller a bien failli s'intituler Saint-Barthélemy, c'est que ces massacres historiques ont laissé leur empreinte jusqu'à aujourd'hui. L'histoire débute par une incartade en 1572, l'année de création d'une toile du très particulier peintre Giuseppe Arcimboldo. On retrouve ensuite ce tableau de nos jours qui servira à cacher d'anciennes cicatrices du torse d'un riche héritier du bord du lac Léman. Il trouve le moyen de se faire greffer à même la peau cette toile achetée dans une vente aux enchères. Techniquement, et en un sens artistiquement, c'est un véritable exploit et une première mondiale. Sitôt présenté publiquement, l'héritier disparaît. On retrouvera son corps mutilé et réduit en charpie auquel il manquera le tableau. L'enquête s'avèrera difficile tant des horreurs qu'elle révèle que du manque de pistes. Elle sera confiée à la belle et talentueuse inspectrice Jasmine Biolay. Des investigations aux incessants rebondissements qui toucheront jusqu'à sa sphère privée et lui seront personnellement difficiles à surmonter. -
En 1655, dans une Rome en chantier que la peste menace, le grand peintre Andrea Sacchi, à qui des dessins furent volés, ne parvient pas à terminer la décoration de l'église Saint-Louis des Français commanditée pour le cardinal Mazarin. Battista Passerotti, un ancien élève retrouve dans un couvent les dessins volés par une prostituée convertie...
Battista Passerotti, qui avait voulu devenir peintre après qu'une femme lui eut fait découvrir la grande peinture, mais que Sacchi avait renvoyé de son Académie, s'efforce sans succès d'écrire des Vies de peintres, domaine réservé de l'académicien Bellori.
Quand il apprend que son ancien maître ne peint plus, Battista voit une occasion de se venger et sortir de l'obscurité dans laquelle il se débat.
Se frayant un chemin entre les décombres des travaux que le pape Alexandre dirige du haut du Quirinal, tandis que son neveu cruel aux mains baguées noue des intrigues contre le cardinal Barberini commanditaire de Sacchi, Battista surprend le grand peintre se plaignant aux fresques de Raphaël du Vatican, saoul dans d'une taverne, et fumant du chanvre dans son atelier au lieu de peindre, autant d'aberrations qui finissent par s'expliquer par la perte des dessins qui lui auraient été volés.
Décidé à retrouver ces dessins, Battista se met en chasse.
Une ancienne maîtresse du fougueux Bernin qui l'avait défigurée, et qui est devenue marchande d'art réputée ; Matilda qui fait le négoce de la peinture et de son corps ; Serafino gamin des rues qui connaît Rome comme sa poche ; Salvator Rosa peintre fantasque des Sorcières ; Stalone, ancien compagnon de l'Académie Sacchi, un géant; Giorgio, un petit chien qui manque se faire écraser par un carrosse, mais que Battista sauve in extremis au début du récit, sont autant de personnages qui accompagnent cet ancien élève du collège des jésuites dans sa quête.
Battista finit par retrouver les dessins que Sacchi dans un couvent où les avait emportés la Cucchiarina, une prostituée convertie qui les avait volés pour le compte d'Agostino Tassi, violeur d'Artemisia Gentileschi et concurrent de Sacchi pour la décoration de l'église Saint-Louis des Français.
La Cucchiarina n'était pas seule, Battista apprend alors la vérité sur la femme qui lui avait fait découvrir la grande peinture, et la raison pour laquelle Sacchi l'avait renvoyé de son Académie.
Si Battista est dévasté, les confessions de Sacchi, à commencer par son vrai nom que Bellori ne connaît même pas, devraient lui permettre d'écrire un ouvrage riche en détails inédits sur le grand peintre, qu'il croit revenu à sa décoration. Mais ce n'est pas le cas. Alors, poursuivant plus avant son enquête, attiré par une lueur rouge vers laquelle il avait vu Sacchi se diriger, Battista descend dans les égouts souterrains de Rome.
Dans une salle d'eau convertie en théâtre où la Transfiguration de Raphaël est projetée sur le mur, autour d'un feu de sorcières qui s'agitent frénétiquement sous l'oeil jubilant de cardinaux amis du neveu du pape, hilare, et de Rosa qui peint à une vitesse folle, apparaît Sacchi, chevelure dénouée, chevauchant une tortue géante, agitant un balai et hurlant le nom de Raphaël. Battista veut fuir, mais un coup sur la tête lui fait perdre conscience. Il ne la retrouvera que sur la barque pilotée par Rosa qui lui évite de justesse d'avoir la jambe happée par la pince d'un homard géant jailli des eaux noires.
Exténué, hébété, Battista erre dans Rome où la peste commence à sévir. Tiré d'un évanouissement fatal par Giorgio qui lui mordille le bras, il finit par s'enfuir dans les Marches, loin de Rome, où le poursuit l'énigme du secret qu'il y a découvert. -
Le roman se déroule pendant les dernières années de la vie de Jackson Pollock, qui trouvera la mort dans un accident de voiture en 1956.
1951. Pollock se saôule, joue, perd et règle sa dette en donnant deux toiles de grand format.
Juin 1956. Un jeune couple de bras cassés, accompagné d'un compère, braque une banque et dérobe les deux toiles de Pollock. Manque de chance, la banque appartient à la mafia. Recherchés également par la police, les deux jeunes gens revendent une première toile à un fourgue et rendent la seconde à un Pollock qui ne dessaôule plus. Il mourra quelques jours plus tard et l'histoire se terminera très mal pour les deux amants.
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L'homme qui avait recueilli les dernières paroles de Gunnar Andersson
Henri Bonetti
- Cohen Et Cohen
- Art Noir
- 18 Octobre 2018
- 9782367490564
Le roman se déroule à Marseille pendant la grande canicule de l'été 2003. Un tableau de Monticelli, pépite du musée où Oreste Pappalardo est gardien, est prêté à Paris, pour une exposition thématique. Samba, voisin et protégé d'Oreste vole le tableau. Mais l'oeuvre appartient au meilleur ami de Gilbert de Perrodil, le grand patron du groupe d'assurance Panopta, mécène de l'exposition où devait être exposé le Monticelli volé. De Perrodil n'admet pas qu'on ait fait de la peine à son ami. De Perrodil est fumasse. De Perrodil a les moyens de se venger. Il engage Karim Kacem, le détective privé spécialisé dans les problèmes autour de l'art pour retrouver le tableau et son voleur.
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Rennes, Bretagne, 1941. Louis « Loulou » Feutrier, jeune et fringante vedette d'un orchestre de jazz swing local, se voit interdire la pratique de son instrument, le saxophone, pour raisons de santé. Alors qu'il envisage de se consacrer corps et âme à son autre passion, la recherche en Histoire de l'art, il reçoit dans d'étranges conditions un folio, arraché d'un recueil, représentant le magnifique mausolée d'un obscur chevalier du Moyen-Âge. La recherche de son origine le met en contact avec la diaspora républicaine espagnole en exil, qui fréquente un troquet des faubourgs de Rennes au faux airs de cour des miracles, surnommé « el consulado ». L'expéditeur de la gravure se révèle être un professeur d'Histoire de l'art, quelque peu différent des autres exilés, qui l'entretient longuement de sa découverte : par l'intermédiaire d'un marchand d'art parisien, il réalise des recherches sur un sculpteur breton actif à Séville, pendant que des oeuvres d'art qui lui sont liées apparaissent sur le marché. Alors que Louis s'engage à l'assister dans sa quête d'informations sur le sculpteur médiéval, en vue d'une vente prochaine, le professeur disparaît dans d'opaques circonstances.
Grâce à l'aide de son oncle, expert en art expérimenté, Louis se lance sur les traces de cet illustre statuaire oublié, qui, selon l'information acquise, a travaillé pour plusieurs dignitaires et têtes couronnées de l'Europe du XVe siècle, ravagée par les longs conflits de la fin du Moyen-Âge. Malheureusement, Louis et son oncle ne semblent pas être les seuls sur cette piste... Rapidement, d'inquiétants et brusques trafiquants liés au milieu nationaliste breton parasitent les recherches, à Quimper ou dans le Léon finistérien. Alors que les témoins et les auxiliaires disparaissent les uns après les autres, Louis n'a d'autre choix que de remonter la piste du sculpteur à sa source. Il s'aventure alors dans l'inquiétante pesanteur de l'Andalousie de l'après-guerre civile, au coeur d'une ville de Séville frappée lourdement par la victoire de la dictature militaire. C'est là, au coeur de l'intrigante capitale andalouse et de son immense cathédrale gothique, auprès de fascinants nouveaux personnages, qu'il découvre la clé de l'énigme, dans les pampres sculptés de la tombe d'un évêque. L'Europe des années 40 reçoit alors le triste écho de l'Europe des longues guerres médiévales, quand les artistes, ambassadeurs, devenaient les messagers des plus périlleuses cabales.
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Des hackeurs dérobent les cryptomonnaies d'un vernissage organisé par Sotheby's à Hong Kong. Le musée du Louvre est la cible de cyberattaques... Le capitaine Martin Cassard, en mission pour l'OCBC, se retrouve au coeur d'une enquête 3.0 qui débute par la rencontre d'une énigmatique femme blonde dans l'avion Paris-Hong Kong...
Ancien de la police judiciaire, le capitaine Martin Cassard travaille depuis peu à l'OCBC (l'office central de lutte contre le trafic de biens culturels). Il est envoyé en mission à la grande soirée organisée par Sotheby's à Hong Kong, qui verra le lancement de l'application Artcoin, première plateforme pour acheter des oeuvres d'art en cryptomonnaies.
Tandis que le vernissage bat son plein, toutes les lumières s'éteignent. Un groupe de hackeurs revendique le détournement des cryptomonnaies des oeuvres exposées... Les sommes en jeu sont colossales.
Martin et sa supérieure de choc, Jessica, que son séduisant protégé ne laisse pas insensible, se retrouvent lancés dans une enquête 3.0 qui semble totalement leur échapper, tant les pirates ont toujours sur eux un coup d'avance.
Qui sont ces hackeurs ? Quelle est leur véritable motivation ? Qui est la mystérieuse belle blonde que Martin a rencontré dans l'avion Paris-Hong Kong, et revu fortuitement à la soirée ? La relation entre Martin et Jessica va-t-elle survivre aux incessants jeux de pistes et messages codés ?
Jalousies. Passions. Tensions.
Une enquête contemporaine palpitante qui conduit le lecteur à voyager entre Hong Kong, Paris, Montpellier et Genève dans le monde de l'art du XXIe siècle. -
Dans ce roman noir (quel événement !!!), Marc Villard convoque Jean-Michel Basquiat à New York en 1983. Il lui reste alors 5 ans à vivre. Il affole déjà le marché de l'art. Une cour protéiforme l'entoure : son amie, sa galeriste, un ancien camarade de classe faussaire.
Entre ces différents protagonistes, commence un jeu de cache-cache, rythmé par le rock New Pop, la drogue omniprésente et l'envie d'exister aux yeux du monde, ne serait-ce qu'un quart d'heure, comme le suggère Andy Warhol.
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Au sein de la prestigieuse Bibliothèque Nationale de France, un archéologue de renom disparaît en laissant ses documents et son ordinateur portable. Le commandant de police Rutebeuf est alors chargé d'enquêter sur cette disparition inexplicable. Il est ainsi entraîné à travers un parcours labyrinthique, semé d'embûches et de meurtres, à découvrir à la fois la vie personnelle de l'archéologue et ses recherches scientifiques sur le disque de Phaistos, un artefact découvert en Crète, dans le palais minoen de Phaistos, en 1908. Une organisation anonyme l'a chargé de déchiffrer l'écriture de ce disque en lui offrant un crédit indéfini. Mais très vite apparaît une autre organisation secrète qui s'oppose à cette tentative.
L'intrigue, d'abord centrée sur une disparition insolite mais banale, s'élargit et s'ouvre sur d'autres énigmes plus vastes, comprenant entre autres une puissante et poignante histoire d'amour. La conclusion, inattendue, remet en cause ce qui semblait évident et acquis.
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Le Goffo, artisan florentin dont la dernière gaffe a fait s'esclaffer toute la ville, n'a rien d'un espion. Cependant, circulant dans le vieux palais labyrinthique du Vatican où on l'engage pour de menus travaux, il surprend les affrontements entre les cardinaux, entend le pape gémissant qui se plaint à son paon, et met à jour la naissance d'un complot, autant d'événements historiques qu'il rapporte au maître de Florence dans un langage qui n'appartient qu'à lui.
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Léonard de Vinci reste encore aujourd'hui mystérieux dans bien des domaines. Á partir d'une énigme non résolue, ce roman prend corps avec quatre personnages, héros malgré eux d'une quête dont ils ne peuvent entrevoir les limites. Dans le décor d'une Italie de rêve, Nicolas, Laura, Chiara et Giovanni, s'unissent malgré des origines sociales différentes et se rebellent contre ceux pour qui ils ne sont que des pantins. Leur crédulité sera tout autant leur force que leur faiblesse.
C'est aussi cette crédulité qui emmènera le lecteur jusqu'à une fin que, pas plus que les personnages, il n'aura voulu entrevoir.
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L'action se situe au musée du Louvre, qui vient d'acquérir sa Grande Pyramide. Nous sommes en 1995.
Nicolas Lesur vient d'être nommé directeur de la sécurité. Des phénomènes étranges et criminels, menacent de bouleverser la vie du musée, victime de calamités en série. Néophyte, jouant son avenir, le jeune ingénieur se trouve d'emblée dans l'obligation de se transformer en aventurier.
Rumeurs et soupçons enveniment l'atmosphère de huis-clos de la digne institution. Dans ce climat délétère Nicolas entreprend seul une enquête qui s'apparente à une course de vitesse : il lui faut absolument mettre fin à ces désordres avant que les media ne s'en emparent et égratignent l'image de l'établissement.
Le lecteur possède alors les clés du musée, convié à l'arpenter de fond en comble. Les coulisses livrent leurs secrets : postes de sécurité, réserves, toitures... Les oeuvres se donnent à voir sous un éclairage inhabituel, parfois sous une lumière crue. Il croise aussi des personnages pittoresques, habités par leur vocation, obnubilés par leurs responsabilités : une communicante ficelle, une secrétaire pipelette, un manutentionnaire maladroit, un gardien sujet au vertige, un journaliste pique-assiette...
La nuit est en elle-même un personnage de ce roman. Durant ces longues heures nocturnes, le musée est placé sous le contrôle de caméras parfois déficientes, et les rondiers illuminent de leurs torches le moindre recoin suspect, faisant résonner leurs pas sous les voûtes de pierre.
Par sa modestie, par sa détermination et son sang-froid, Nicolas est un Tintin égaré dans les brumes de l'univers de Belphégor et finira, après maintes surprises et de nombreux retournements de situation, par résoudre l'énigme proposée au lecteur.
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Ronald hérite de la malle de son père, jadis forestier au Gabon. Il y trouve des sculptures sublimes, des photos, un journal intime relatant des exploits fabuleux. Il se prend de passion pour l'art africain et affirme sa vocation de photographe. Victime d'un cambriolage, Ronald débusquera seul le coupable. Marlène refusera de choisir entre trahir son oncle ou renoncer à son amant. Magouilles lucratives côtoient secrets de famille et amours illicites. On se perd dans un univers de masques, blancs ou noirs : escroc-justicier, policier-assassin, sorcier-échassier.
L'oeuvre appartient-elle aux descendants des artistes ou à ceux qui tel Picasso y puisent leur inspiration ? La polémique autour de la restitution des oeuvres d'art s'incarne, frontale. L'histoire coloniale pèse lourd, autant que la mémoire des êtres chers. La vie, la mort, l'amour : éternelle équation. ?Et si la beauté partagée, forte de sa dimension spirituelle, était facteur de réconciliation.
Un roman aussi envoûtant que l'art dit primitif.
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L'incident vient de se produire dans la salle des Etats, au coeur du Louvre : Un homme est retrouvé mort de façon inexpliquée au pied d'une toile et en parallèle des centaines de visiteurs découvrent que les commissures des lèvres de La Joconde se sont légèrement affaissées... La déflagration est immédiate dans le monde de l'art et l'onde de choc se propage au niveau politique, diplomatique et économique. Le conservateur du Louvre Pierre Longueville, figure charismatique aux théories ahurissantes, ne semble pourtant pas étonné puisque de son point de vue la peinture devrait entrer dans la catégorie des arts vivants... Que s'est-il passé ? Quel divorce s'est produit entre le monde réel et celui de l'art ? Un inspecteur, Bruno Gorce mène l'enquête. Une histoire fantastique, policière et sensuelle au coeur du Louvre.
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Le corps d'une femme accroché à la grille de la Cité du Design.
Quatre cartouches envoyées à un fabricant d'armes.
Le vol, au Musée d'Art et d'Industrie, d'une crosse de fusil sculptée.
Trois faits divers qui vont secouer Saint-Etienne d'autant que le jeune juge d'instruction chargé de l'affaire décide d'auditionner des notables stéphanois.
Aucune piste ou en réalité pléthore car l'évidence du lien qui relie l'assassinat aux deux autres infractions multiplierait plutôt tant les suspects que leurs mobiles : Coup d'éclat de quelque anti-chasse ? Ou d'un opposant à l'armement ? Colère d'un concurrent évincé ? Seule certitude : les armes sont omniprésentes.
Un étrange laveur de vitres s'amuse de voir les enquêteurs s'égarer dans un dédale de fausses pistes parce que personne d'autre que lui ne connaît la vérité.
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Il a vu ce qu'il n'aurait jamais dû voir, et son fils Tobias est pris en otage pour garantir son silence.
Sous le règne d'Élisabeth Ière, reine d'Angleterre, John Pickett, homme de la Renaissance, dessinateur, peintre portraitiste, géomètre et ancien soldat du corps expéditionnaire anglais aux Provinces-Unies, se trouve ballotté dans la lutte féroce qui oppose des conspirateurs catholiques au service de renseignement de Sir Walsingham, le maître-espion de la souveraine.
Plusieurs notables sont assassinés, dans des circonstances aussi mystérieuses que spectaculaires, qui le désignent comme coupable. Il doit, pour se tirer d'affaire, exécuter une mission qui lui fait côtoyer les pires horreurs de la Tour de Londres et celles du sinistre gibet de Tyburn.
Dans la capitale en plein essor économique et démographique, entre religion et superstition, entre science et alchimie, un nouveau monde est en train de naître. Mais il importe de se conformer à l'ordre dominant si l'on veut échapper aux persécutions religieuses ou à la misère sociale qui guette ceux qui n'ont pas de protecteur.
Comment John, sa compagne hollandaise Lies et le jeune Tobias survivront-ils dans ce tourbillon ?
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En 2021, à Tanger, au Maroc septentrional, on a retrouvé mort, pendu, le Consul General de France, dans sa résidence officielle. L'enquête a conclu au suicide, hâtivement et commodément attribué à l'état dépressif de ce haut fonctionnaire célibataire. Peu de détails ont filtré, le Quai d'Orsay, peu bavard s'est félicité de voir l'affaire sombrer rapidement dans l'oubli.
Tel sera le sort de Charles, qui se déroule une soixantaine d'années auparavant, à l'époque où cette ville, régie par un curieux statut international a été la terre d'accueil d'un des courants littéraire et sociétal les plus marquants du vingtième siècle, la " Beat Generation ", dont l'un des chefs de file fût William S. Burroughs inventeur du "cut up".
Sortis hébétés de la Deuxième Guerre mondiale, une communauté de jeunes Américains, un peu à leur insu, ont su faire de leur escale prolongée dans cette ville, à la permissivité sans limite, une légende qui leur survit intacte.
Entre l'enfer de l'addiction, les paillettes d'une vie mondaine animée, les combines financières d'un univers en roue libre, va se dérouler une intrigue qui finira mal pour certains, et mieux pour d' autres... -
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Dans ce nouvel opus, un détective privé enquête sur les mystères de la vie et de la mort du célèbre artiste El Meskini.
Entre Paris, Marseille, une île de Méditerranée, il est entraîné malgré lui dans une histoire d'art, de soleil, d'oubli, de fric, de pouvoir, de violence et de mort.
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À près de quatre cents ans d'intervalle, ?un brocanteur spécialisé en tableaux anciens et un peintre des premières années du dix-septième siècle, s'intéressent au même tableau. À l'occasion des diverses tribulations de la toile en question, l'auteur nous introduit dans le monde secret des commissaires-priseurs malhonnêtes et des marchands d'art vertueux ... ou le contraire...
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Il ne fallait pas être devin pour dire que le substitut avait croisé celui que les journaux appelaient déjà « le tueur de juges ». L'homme gisait, face contre terre au milieu d'une mare de sang...?? C'est à Fred Andersen, dit le Danois, chef de groupe à la Crim', qu'est confiée une enquête peu banale. Un tueur en série égorge des magistrats, à Paris, puis en province. Même mode opératoire. Même signature : des sachets de papier contenant des éclats de peinture. Aucun lien entre les victimes qui ne se sont jamais rencontrées. L'enquête piétine et l'hécatombe continue, provoquant les « coups de gueule » d'une hiérarchie aux prises avec les politiques et le découragement des flics. Mais lorsque l'assassin les nargue en enlevant ?un ex-commissaire spécialiste des trafics d'oeuvres d'art qui vient justement d'achever un ouvrage sur Van Gogh... la palette du vagabond d'Auvers va faire jaillir de la toile des bouts de vérité.
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Espion à tout prix ou détective privé ; les risques du métier
Elie Cohen
- Elie Cohen
- 20 Mars 2006
- 9782952563000