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Les enquêtes de Cicéron Tome 3 : fallait pas écraser la vieille
Cicéron Angledroit
- Publibook
- 14 Octobre 2013
- 9782342013139
« Je veux juste que tu me retrouves la famille Elédan. Que tu me les situes. Je veux juste les empêcher de continuer leurs trafics. J'ai pas envie de m'en prendre à eux, ça me retomberait sur le nez, mais je veux juste leur pourrir leur bisness. Je ne tolère pas qu'ils s'en sortent et continuent de prospérer dans la région. Maria m'a souvent fait ton éloge. Elle m'a dit aussi que tu étais pote, c'est pas le terme qu'elle employait, avec le commissaire. Je voudrais que tu agisses de deux manières différentes et complémentaires. Un, que tu trouves où se planque Vaclav pour qu'on le gêne dans ses combines et, deux, que tu informes et influences les flics pour que de leur côté aussi ils le tannent. Tu vois, rien de bien illégal ni de très compliqué pour un détective comme toi. »
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Cicéron Angledroit est détective privé en banlieue parisienne. Quand il ne croule pas sous les affaires, ce qui est régulièrement le cas, il partage son temps entre sa fille et ses maîtresses. Mais voilà, tout à coup il se retrouve avec deux dossiers sur le dos. D´un côté, une sombre histoire de policiers pas très honnêtes, de l´autre, un mystère autour d´une naissance... Avec son flegme et son humour légendaires, Cicéron mène l´enquête.
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Les enquêtes de Cicéron Tome 1 : sois zen et tue-le
Cicéron Angledroit
- Publibook
- 15 Août 2012
- 9782748388657
Mais qu'est-ce qu'il lui prend, à la mère Costa, de me demander d'enquêter sur la mort de son mari enterré depuis dix ans ? Si j'accepte, c'est bien parce que j'ai besoin de sous. Et puis il y a cette histoire de truands de banlieue qui explosent à chaque coin de rue. Et ces SDF qui n'en sont pas. Ajoutez une ou deux femmes mariées, un Yorkshire. Mélangez le tout et dégustez ! Mais c'est qui qui tue ? Pour le savoir il va falloir me suivre, moi Cicéron Angledroit, jusqu'au bout de cette histoire. Sacrément séducteur, non moins nonchalant et caustique, Cicéron Angledroit est un détective comme on les aime : irrévérencieux, un peu voyou, travaillant dans les marges. Un personnage qui s'inscrit dans la lignée des San Antonio et Burma, qui, à travers son regard décalé et impertinent, nous entraîne dans les noires arcanes d'une famille en apparence bien sous tout rapport. et qui livrera ses secrets d'une manière pour le moins déconcertante.
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"- Où est ma fille ? Dites-moi où est mon enfant, je vous en supplie. implora Denise, mais son agresseur resta de marbre. L'inconnu avait déposé délicatement Loïs sur un matelas. La petite fille eut juste le temps d'apercevoir d'autres lits avant que la lourde porte se referme sur elle. Au matin elle fut réveillée par une petite main qui caressait sa joue. - Je m'appelle Cristal et voici Simon, comment tu t'appelles ? - Loïs. - Cette enfant est un ange. Elle est si belle, paraît si pure avec ses boucles blondes, sa peau de porcelaine et ses yeux si bleus. - Elle vaut bien un petit supplément, dit l'inconnu en tendant la main vers son interlocuteur. Elle n'est arrivée qu'hier soir. Personne n'y a encore touché. - Alors elle a encore plus de valeur, dit-il en sortant quelques billets qu'il glissa dans la poche de la chemise de l'inconnu."
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Les enquêtes de Cicéron Tome 4 : riches un jour, morts toujours
Cicéron Angledroit
- Publibook
- 18 Septembre 2014
- 9782342028294
« C'est la première fois de ma carrière, pourtant déjà longue et entièrement déroulée dans des quartiers guère privilégiés côté sécurité, que je suis confronté à une telle violence que je ne comprends pas. Je n'arrive qu'à articuler un "pourquoi ?". - Les deux vieux ont vu des choses qu'ils n'auraient pas dû voir. - Quelles choses ? m'étonné-je. - Le paquet de fric, le lieu où il a été découvert et la tête de ceux qui sont venus le récupérer. » Lorsqu'un couple de quidams se retrouve en possession du butin de trafiquants de drogue, ce n'est pas vers la police qu'il se tourne, mais vers un détective bien moins regardant : l'inénarrable Cicéron Angledroit. Et cette fois-ci, le privé, loin de se douter où il met les pieds en acceptant l'affaire, en perdrait presque son flegme légendaire. Cavale, faux semblants, meurtres... Le puzzle est tordu et riche en surprises, tour à tour grave et décalé : irrésistible, à l'image de notre héros.
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La vie quotidienne d'une ville imaginaire d'une province non moins irréelle, pervertie par les manigances de notables bien peu reluisants. La mangrove grouille de crabes qui, ébahis, sortent de leurs trous. Un psychopathe rôde, avide de chair morte. Son obsession : pratiquer des chasses nocturnes tous azimuts ! Pas de quoi en faire " un calalou " direz-vous ? Mais, les crabes doivent jeûner quelque temps dans une barrique de piments z'oiseaux. Dans ce pastiche de roman policier désopilant et cocasse, l'auteur nous dresse un tableau hilarant et cruel des politiques et autres notables. Une galerie de personnages loufoques et des situations rocambolesques lui permettent de laisser libre court à une fantaisie narrative qui s'appuie sur le langage et son sens de l'absurde. Lisez donc plutôt car, selon l'auteur, " l'appétit vient en lisant ".
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Meurtres à Saint-Jean-de-Luz
Bernard Marcout
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 7 Novembre 2011
- 9782748370232
Quand Julien Amiot est envoyé à Saint-Jean-de-Luz pour dénouer une affaire de meurtre, personne dans la commune basque ne croit au succès du policier parisien. Et encore moins le capitaine Bixente Etchart, fort de son expérience locale, qui, pour l'instant, patauge dans ses recherches. Les deux hommes vont travailler de pair, sur fond de rivalité, de rancurs et de jalousie. Le policier parisien, qui connaît la ville depuis son enfance, n'a pas été envoyé par hasard : la cité des Corsaires n'a aucun secret pour lui.
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À Paris en novembre 1962, Alicia Grandin est tuée par trois hommes. Dieu l'accueille dans son royaume, puis la renvoie sur Terre. Tout commence. Alicia et son amie Adeline traquent les coupables pendant que l'inspecteur Pierre Jaspar mène l'enquête. Le policier est confronté à des forces invisibles, à deux femmes vengeresses et un inconnu portant une redingote. « La prostituée releva le couteau et tourna la tête vers Alicia. Elle la regarda en lui souriant, puis planta le couteau dans la poitrine de Robert, une fois, deux fois, trois fois... plusieurs autres fois, avec un acharnement et une frénésie diabolique. Ses cris et ceux d'Alicia traversèrent la longue avenue, des hurlements de louves enragées. Il y avait en eux une énergie remplie de certitudes nourries des souffrances de la femme. »
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« Mercenaire du crime et volontaire pour n'importe quel trafic louche, pourvu que cela me rapporte, voici ma carte de visite. C'est un métier qui n'exige pas de compétences particulières pense-t-on, tuer (ou éliminer) ne paraît pas difficile. En réalité cela exige une quantité de qualités, autant que pour être pilote de course ou pianiste. Je dois être patient, bon observateur, avoir la main ferme et du sang froid pendant l'« action » et surtout, je ne dois pas être embarrassé par une conscience tatillonne et volubile ou par un coeur d'enfant de Marie. Bien que je ne me souvienne pas d'avoir eu à supprimer un honnête travailleur, un bon époux ou un brave à trois poils, je le ferais si cela m'est commandé et payé car qui sait quelle crapule se cache derrière l'apparence de l'honnête homme ou de la femme sérieuse ? »
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Six ans qu'il est parti. Six ans que sa mère est morte. Six ans qu'il rumine sa vengeance. Aujourd'hui, Léo revient enfin dans son village d'enfance, dans sa maison bleue. Il a vingt ans et soif de justice. Quelqu'un doit payer. Horgues, le patron de la scierie, l'homme qu'il tient pour responsable du drame, va découvrir ce que l'on ressent lorsqu'on vous prive d'un être cher, de son propre sang : Léo kidnappe sa fille de six ans. Jusqu'où est-on prêt à aller pour tuer sa souffrance ? Autour de la quête de vengeance et de la fuite en avant, Marie Ranc orchestre sous des airs de chronique rurale un drame à hauteur d'hommes. Un thriller psychologique implacable pour un tourbillon inexorable.
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Miscellanées culinaires
Patrick Tournier-Potiez
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 8 Juillet 2011
- 9782748365955
Première affectation à Nice pour le juge Bastien De La Roche Vivier et premier meurtre. Grand et athlétique, ce brun aux yeux vert indéfinissable se crée vite une réputation de play-boy à la répartie toujours affûtée. Son collaborateur l'inspecteur Garriguette va lui faire découvrir les méandres d'une ville où chaque mètre carré aiguise les appétits. Et quand le juge s'approchera de la vérité, certains n'hésiteront pas à s'attaquer à son entourage le plus proche, son compagnon.
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Affectée à la P.J. de Lyon, le lieutenant Lou Grimaud est confrontée dès sa prise de fonction à une série de meurtres aussi subtils que violents. Comme si le tueur, mélomane et pervers, l'avait attendue pour la tester. La musique de Mozart, n'adoucit pas vraiment les moeurs. Jeu de piste noire sur fond d'opera seria, une sombre partition où la moindre erreur peut conduire à la mort du chasseur sur la trace du fauve, une partie d'échec entre un chef d'orchestre masqué et une inspectrice, aussi obstinée que séduisante, qui apprend vite la musique.
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Dis maman, c'est comment quand on est heureux ?
Gabrielle Motta
- Publibook
- 28 Février 2008
- 9782748340914
Mariée et mère affectueuse de deux enfants, une femme que le présent semble combler pleinement est victime de problèmes de santé chroniques et psychosomatiques. Elle débute donc une psychothérapie, durant laquelle elle évoque les souvenirs d'une enfance marquée par un père aux accès de violence incontrôlables et meurtriers. Cependant, cette exploration de la mémoire n'est pas sans conséquence : entre un attachement immédiat à sa thérapeute et une prise de conscience des défauts d'une mère idéalisée, Gabrielle Motta exhume les secrets douloureux, profondément enfouis sous les strates du temps.
En quoi sommes-nous toujours porteurs de notre enfance et des événements qui l'ont marquée ? Avec "Dis Maman, c'est comment quand on est heureux ?", Gabrielle Motta répond à cette question essentielle mais souvent occultée en créant une oeuvre romanesque relatant la psychanalyse d'une femme au foyer. L'écrivaine compose ainsi un roman aussi bien introspectif que rétrospectif, oscillant entre le présent et les différentes strates du passé. Un texte donc qui, à travers une écriture à la première personne et la compréhension des traumatismes premiers, dit la recherche d'une résilience et du bien-être par la parole thérapeutique. -
Alors, depuis vingt ans, oui vingt ans déjà, tout le monde me croit concertiste. Bien sûr pour donner le change, je travaille mon piano plusieurs heures par jour. Je vois des maîtres pour me perfectionner en vue des concerts, je fais des « Master classes », des stages. Je fais tout ce qu'il faut pour que personne n'ait le moindre doute à ce sujet. Et comme je suis vraiment passionné par le piano, enragé même, je n'ai pas vraiment beaucoup de mal à convaincre ceux qui ne demandent qu'à me croire. Pour le commun des mortels, une Étude de Chopin, c'est une Étude de Chopin. Basta. J'en interprète quelques-unes à ma façon, et mon béotien ne se pose aucune question. Pour lui je suis un véritable artiste. C'est un odieux mensonge. La vérité, c'est que pour gagner ma vie j'exerce une profession parallèle. Un métier qui lui aussi demande beaucoup de doigté, surtout en public. Je vous ai prévenu. J'ai un côté obscur.
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Ça commence par un coup de téléphone. « Si vous voulez connaître la vérité sur la mort de votre mari, venez tout de suite me rejoindre dans la forêt, à la fontaine. » Puis un corps, ensanglanté. Des mots qui lui reviennent en mémoire. « Madame, il faut vraiment que je vous parle, c'est vital. Nous sommes vous et moi en danger. » Une voiture qui la suit, lui rentre dedans. Un cri au secours, un inspecteur dubitatif, jusqu'à ce qu'il découvre aussi le corps. Enfin un nouveau coup de fil. Un souffle. « Vous n'auriez jamais dû mêler la police à toute cette affaire. Cela ne vous a pas suffi de perdre votre mari ? Vous vous en mordrez les doigts ! »
Et la vie d'Eve Langlois prend un tournant des plus inattendus et ne sera plus jamais la même. Mais ça, vous l'auriez deviné tout seul.
Une jeune femme qui se retrouve malgré elle plongée dans une histoire qui la dépasse.
Un mari qui lui a caché d'horribles secrets de son vivant, un inspecteur qui lui tape sur les nerfs, un mystérieux inconnu qui veut la tuer... Il y a des jours comme ça, où l'on se dit qu'on aurait mieux fait de ne pas répondre au téléphone...
En unissant avec merveille polar et humour, en y ajoutant un zeste d'amour (c'est incontournable), Patricia Bogey arrive aussi bien à nous faire rire qu'à nous angoisser.
Des personnages hors normes, une intrigue qui joue on ne peut mieux avec les conventions, de l'action et des péripéties, des insultes et des mots doux, c'est certain, tout est là pour nous - pour vous - faire passer un bon moment, entre émotion et surtout sensations fortes ! -
Lorsque le commandant de la gendarmerie de Nouméa vient enquêter sur le sabotage du nouveau site d'exploitation de la Nickel Investment Company, il est loin de s'attendre à découvrir un homicide. Et pourtant, le cadavre d'une jeune femme va tirer l'affaire vers une direction des plus inattendues, dépassant de loin les tensions régionales et les conflits sociaux...
D'ex-agents de la Stasi aux Forces armées révolutionnaires de Colombie, Daniel Zié-Mé prend un mail plaisir à nous promener dans un labyrinthe complexe et addictif. Il signe autour d'une affaire d'espionnage industriel un thriller remarquablement maîtrisé, accrocheur et aussi réaliste que riche en surprises. -
Si vivre à Agen est à la portée de tout le monde, y finir d'aussi étranges façons à de quoi titiller le commun des mortels.... L'inspecteur Vladimir Karnaukhov sait bien que ses semblables sont multiples. Il sait sentir leurs troubles, déceler leur failles et débusquer leurs démons. Mais cette enquête va l'obliger à revoir des connaissances en sciences humaines qu'il croyait gravées dans le marbre de ses certitudes. Le jeu social auquel il va participer, le mettra en présence d'une galerie de portraits destinés davantage à le perdre qu'à le faire progresser pour découvrir cette vérité à laquelle tout le monde aspire si, bien sûr, elle n'est pas trop dérangeante. Que ces événements tragiques croisent le monde du cabaret donne aux artifices dont chacun se pare, un sens et une tournure imprévus. Ils rapprochent le bien du mal en dissipant la frontière qui les sépare, sans pour autant mettre en évidence ce qui leur va le mieux. L'inspecteur va devoir redoubler de discernement pour révéler les souffrances et faire tomber les masques. Mais sait-on jamais qui sont les autres ? Ce que nous sommes ? Ce qu'il faut laisser de soi pour mieux comprendre l'autre ?
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Un avion en détresse, un orage de fin du monde qui l'emmène au crash au coeur d'une région montagneuse et désertique au centre du Kenya.
De toutes les personnes à bord, elles sont deux à survivre au chaos effroyable de l'accident: Mylêna Milan et Julien Levernois.
Deux inconnus qui se retrouvent agrippés l'un à l'autre et qui, en l'absence de secours rapides, vont s'épauler et partir à l'aventure pour sauver leur vie. C'est ainsi que débute leur histoire...
Une histoire dont la prolongation les conduit dans une maison perdue aux fins fonds d'une campagne française. Ils espéraient pour la circonstance, passer une soirée plaisante; malheureusement, très vite tout a dérapé.
Au petit matin, Levernois groggy a tout oublié, ou presque, des évènements du début de nuit; Mylêna quant à elle, n'est plus dans la demeure...
Tenace, acharné, inébranlable malgré les difficultés et menaces dont il est l'objet, Julien Levernois s'obstinera à démêler les fils d'une énigme oppressante; il ira jusqu'au bout, là où il a rendez-vous avec son destin...
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Didier Méroni est un citoyen comme des millions d'autres, menant une petite vie tranquille en Haute Normandie, entre sa famille et son travail d'ouvrier fondeur. Jusqu'au jour où il perd et son emploi et son épouse qu'il surprend dans d'autres bras. C'est alors que commence une lente descente en enfer : divorce, éloignement de sa fille de douze ans, recherche d'un emploi et désoeuvrement total. Fragilisé psychologiquement, et afin de faire face aux difficultés financières du quotidien, il décide de « faire un coup », un seul, qui lui permettra de se reconstruire et de se mettre à l'abri. Ça peut marcher... si le hasard ne s'en mêle pas. De la première à la dernière page, le lecteur se laisse entraîner dans ce drame sociologique de nos temps modernes, sur fond d'enquête policière parsemée de suspense et de curieuses coïncidences.
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Houlgate, l'énigme du kursaal
Marcel Miocque
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 8 Février 2012
- 9782748376302
Été 1938. À Houlgate, station balnéaire du Calvados, une dame du meilleur monde s´éprend d´un séduisant employé saisonnier. En septembre 1939, le jour même de la déclaration de guerre, un pêcheur retrouve le corps de la malheureuse, abandonné sur la plage au voisinage du kursaal. L´enquête démarre dans l´ambiance de la « drôle de guerre », ralentie par l´absence de nombreux hommes mobilisés. Des difficultés supplémentaires vont se présenter avec l´arrivée des troupes d´Occupation en juin 1940. La victime ayant eu antérieurement à son service une jeune Allemande, la possibilité d´une affaire d´espionnage vient en outre compliquer la donne. Enfin la petite Simca de la victime avait été volée la nuit du drame, peut-être en relation avec le meurtre. Beaucoup de pistes donc seront passées au crible avant que soit enfin faite la lumière complète...
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- Il y a un hic, pressentit immédiatement Léa. Pour garder le suspens, le commissaire partit chercher un café et revint, quelques minutes plus tard, le gobelet brûlant dans les mains. Enfin, il reprit: - Mais, nous ne sommes pas dans le cas d'un crime « banal ». Les médecins qui ont examiné le corps de M. Abart m'ont affirmé que celui-ci était mort avant d'avoir reçu les balles dans le ventre. Cela compliquera un peu cette enquête, je le crains. [.] » M. Proust but une gorgée de café et ajouta : - Une autre chose étrange : l'agresseur avait les clefs de la villa et semblait connaître la maison. [.] Pour cette enquête, vous avez carte blanche. Tout est clair ? - Très. Ne vous a-t-on jamais dit qu'un parfait coupable ne l'est pas forcément ?