Pastorale transsiberienne

Oleg Ermakov

Traduit du RUSSE par YVES GAUTHIER

À propos

C'est l'histoire d'une fuite, dans un pays, la Russie, où la nature offre encore des espaces assez grands pour s'y réfugier ou s'y perdre.
Au coeur de l'Asie du Nord, en Sibérie, Daniel Menchikov a rencontré sur les bords du lac Baïkal un émule de Thoreau, gardien du silence et des oiseaux. L'exemple de cet homme, qui a su rester libre dans le système le plus hostile à l'individu, va donner au jeune homme le courage de se révolter. Au nom de quelle histoire glorieuse, oubliée depuis longtemps, devrait-il supporter à l'armée les brimades et les humiliations qui sont de règle pour les jeunes recrues.
Déserteur, rattrapé puis finalement chassé, comme élément perturbateur, le jeune homme achète un kayak et remonte le cours d'une rivière toujours plus profondément vers une contrée mythique, terre de la sagesse ancestrale. Récit d'aventure, quête spirituelle et satire sociale s'équilibrent harmonieusement dans ce livre qui est d'abord un hymne à la nature.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Oleg Ermakov

  • Traducteur

    YVES GAUTHIER

  • Éditeur

    Jacqueline Chambon

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    01/04/2004

  • Collection

    Metro

  • EAN

    9782877112758

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    295 Pages

  • Longueur

    19.6 cm

  • Largeur

    12.5 cm

  • Épaisseur

    2.5 cm

  • Poids

    320 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Oleg Ermakov

  • Naissance : 1-1-1961
  • Age : 64 ans
  • Pays : Russie
  • Langue : Russe

Oleg Ermakov est né à Smolensk en 1961 et vit aujourd'hui à Moscou. Il a travaillé comme forestier dans une réserve près du lac Baïkal avant de faire son service militaire en Afghanistan. Il évoque cette sale guerre et les dégâts psychologiques faits chez les jeunes dans un recueil de nouvelles Récits afghans, publié en 1991 puis un roman, La Marque de la bête en 1994 (Albin Michel et 10-18). Il apparaît alors comme un héritier du Tolstoï de la guerre de Crimée, par sa langue rude, directe, puissamment évocatrice. Son récit est également comparé aux meilleurs témoignages sur la guerre du Vietnam.
Rentré chez lui, en Sibérie, il opère un retour aux sources avec sa Pastorale transsibérienne (2004, Jacqueline Chambon, 2020 Syrtes Poche), l'histoire d'une fuite en Russie où la nature offre encore des espaces assez grands pour s'y réfugier ou s'y perdre.

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